quinta-feira, 2 de agosto de 2012

MATIN RADIEUX


                                                                                              Wilson C. S. Lima



Dans le ciel, à peine une étoile brille.
C’est l’aube et la lune reste
dans la plénitude de son reflet.
Toutefois, bien que merveilleux le ciel,
au loin on voit, comme un noir voile,
de denses nuages
et le  poète reste à regarder perplexe. 

Combien d’eaux y seront ?
Peut-être millions de litres ou plus ...
Et  les nuées flottent, emmenées par le vent.
La lune ne brille pas non plus.
Maintenant, ce qu’on entend
c’est une triste chanson,
composée par l’air en mouvement. 

L’étoile... on ne la voit pas non plus.
                        ... Et le poète, extasié en soi,
les yeux vers le ciel, soupire et crie :
“Ou es-tu que je ne te vois” ?

E attend, attend, jusqu’à ce que surgit
Comme un lion qui se lève et rugit
– sans qu’on oie le son  de son rugissement  
le soleil, qui, comme un géant endormi
réveille, en réponse au poète séduit.

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