sábado, 1 de dezembro de 2012

LA TRISTE FIN D'UN SERVANT DE DIEU

 

“Le roi Salomon aima beaucoup de femmes étrangères, outre la fille de Pharaon: des Moabites, des Ammonites, des Edomites, des Sidoniennes, des Héthiennes, appartenant aux nations dont l'Eternel avait dit aux enfants d'Israël: Vous n'irez point chez elles, et elles ne viendront point chez vous; elles tourneraient certainement vos coeurs du côté de leurs dieux. Ce fut à ces nations que s'attacha Salomon, entraîné par l'amour. Il eut sept cents princesses pour femmes et trois cents concubines; et ses femmes détournèrent son coeur. A l'époque de la vieillesse de Salomon, ses femmes inclinèrent son coeur vers d'autres dieux; et son coeur ne fut point tout entier à l'Eternel, son Dieu, comme l'avait été le coeur de David, son père” (1 Rois 11 : 1-4).

Il n'y a pas de sagesse qui résiste au procès consenti d'endurcissement du coeur. Salomon consentit lorsqu'il fit des alliances politiques et accepta le mariage avec des princesses lesquelles menaient leur servantes avec leur cultes païens. Il n'endurcit pas son coeur dans un unique acte, mais ce fut un procès qui dura une vie. La perversion du coeur est subtile. S’elle fût paradée, tous éviteraient le pire.

Nous pouvons occuper nos esprits et coeurs avec des pensées et des émotions lesquelles ne correspondent pas à la volonté de Dieu et lesquelles, peu à peu, vont-elles nous distançant de Lui. C'est urgent la vigilance sur la vie spirituelle. Nous avons tous les ressources pour cela : la présence de l'Esprit Saint, la Bible, la communion avec Christ et les frères, la prière comme de moyen efficace de conversation avec Dieu.

Avoir soin de la vie spirituelle c'est une décision active et nous ne pouvons pas rester passives devant ce qu'arrive. C'est comme l'illustration du Chameau et le Bédouin. Dans la tempête de sable, le bédouin monte la cabane et le chameau reste dehors. Le chameau met sa tête au-dedans de la cabane et le bédouin ne réagit point. Le chameau, alors, peu à peu, va mettant le restant de son corps en fonction de la faute de réaction du bédouin. Lorsque le chameau était dans la cabane, il lui donna un coup de pied et le jeta dehors.
Un excellent commencement n'est pas garantie dune fin bénie. On a besoin de discipline spirituelle pour maintenir la vie spirituelle dans la volonté de Dieu. Bien que nous ne réussissions pas maintenir le niveau tous les jours, ayons l'humilité de confesser nos péchés, de chercher le pardon de Dieu et de restaures notre communion avec Lui.  

sexta-feira, 14 de setembro de 2012

LA GRÂCE DANS LE NOUVEAU TESTAMENT

Grâce – Faveur immeritée.
 
La grâce nous a été donné par Dieu dans la Personne de Notre Seigneur et Sauver Jésus Christ, comme une preuve de sa pitié envers les élus, étant cette concession une reconnaissance non de nos oeuvres méritoires, mais de notre nécessité, car nous étions par nature des enfants de colère et, tellement adressés à l'enfer.
Comme nous prétendons parler sur une si importante matière, il nous faut d'abord faire une exposition de l’opération de la grâce dans les divers âges dans lesquelles nous fûmes visités à travers la Providence Divine par la promesse jusqu'aux jours du Christ, quand la grâce se manifesta fort évidente entre nous, comme Paul écrivit aux Galates : mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption [de fils]”.
De cette façon, nous aborderons, en premier lieu, les manifestations de la grâce dans l’Ancien Testament, laquelle, quoique nous avions été sous la malédiction de la Loi, était présente en forme de promesse, et promesse de Ce qui n’y manque jamais.
LA GRÂCE DANS LE NOUVEAU TESTAMENT
 
Rappelons-nous de la promesse en Gen. 3.15 – La semence de la femme qu’écraserait la tête de la serpente.
Et ça n'a pas manqué d'arriver sous Christ, car il est venu au monde avec le but d'anéantir le pouvoir du diable sur les enfants de Dieu par la Grâce de Christ. La naissance de Jésus signale pour le croyant le commencement d'une vie future, pas utopique, mais trop réelle, dans laquelle tous nous qui serons en Lui vivrons abondamment.
Bethléhem fut la cité élue par Dieu pour être le lieu où la Grâce se manifesterait matériellement. De manière matérielle, par contraste avec la nature spirituelle de la Grâce qui ne se limite pas à un lieu mais si, qui est infinie et infiniment présent, indépendant d'espace et temps.
Israël fut le peuple, Juda la tribu et Jésus le véhicule par lequel la Grâce serait manifestée dans sa plénitude.
À l'annonce de la naissance de Jean le Baptiste nous voyons présente la grâce en train de préparer terrain pour qui en Christ elle se confirmât de plus en plus.
Au baptême de Jésus Christ par Jean le Baptiste, lorsque le Seigneur Dieu, à la sortie de Christ des eaux de la rivière Jourdain, lui confère le titre de "MON BIEN-AIMÉ", nous sentons la manifestation de la Grâce encore une fois se concrétisent dans la vie de l'homme.
À la tentation de Jésus, quand nous y avons l'enseignement de comme on vaincre la tentation du Diable, on y voit aussi la merveilleuse Grâce prient soin de nous, des pécheurs.
Au choix de ses disciples, lorsqu'Il choisit ce que porteraient l'Évangile, au risque de ses propres vies, on peut voir, encore une fois, la manifestation de la Grâce.
Les miracles sont la grande preuve de cette merveilleuse grâce qui nous apporte la bénie joie de nous sentir aidés par Dieu, et que Dieu même n'a pas oublié quelqu'un de nous, comme nous pourrions penser s'Il ne se manifestât jamais à nous.
On peut voir, de cette façon, la manifestation de la grâce divine à l'incarnation de La Parole, lorsque Jésus vint demeurer avec nous, habitant au milieu de nous, quand nous vîmes Sa Gloire évidemment.
À la transformation de l'eau en vin, à la rencontre de la femme samaritaine et sa conséquent conversion, à la multiplication des pains en tous les deux occasions racontées dans La Sainte Écriture, à la résurrection de Lazare, du fils de la veuve de Naïn, à la promesse d'un autre Consolateur, à la Prière Sacerdotale, à la Crucifixion de Christ, Sa mort et Résurrection, on peut voir la manifestation totale de la Grâce de Dieu, en Christ, superabundante en nos coeurs.
Au Pentencote, à la conversion de Saul de Tarse en Paul l'apôtre de Notre Seigneur Jésus Christ, à la conversion de Corneille, païen, aux prises de Paul, Pierre, Silas et Jean, on peut vérifier la manifestante grâce parmi tous ces évènements si importantes pour nous.
En Romains 3.23, Paul écrit disant que nous sommes justifiés par la Grâce, c'est-à-dire, gratuitement, à travers la rédemption qui est en Christ Jésus. Alors, la grâce est implicite dans le terme "gratuitement", puisque d'une façon gratuite Jésus nous a rachetés pour toujours. Néanmoins, le terme grâce transcende la compréhension de ce qui est inséré dans le premier terme, puisque, au-delà de ne demander aucun prix ou aucun matériel en change, Il se donna encore plus, lorsque par lui-même, Il fit la rédemption des justifiés.
LA LOI ET LA GRÂCE
La Loi est en conflit permanent avec la grâce, puisqu'il n'y a aucune harmonie entre la culpabilité et le pardon.
La Loi fut coupable de la mort spirituelle et matérielle de l'homme, parce qu'on voit selon la déclaration de Paul, lorsqu'il dit qu'il ne connut pas le péché, sinon par la Loi.
Dans le chapitre 4 on voit le contraste qui existe entre la Grâce et la Loi, et la manière comment Paul voit les deux, comme une antithèse parallèle, si en on peut dire, mettant en évidence les deux extrêmes.
Parce qu'on lit dans le texte référé, la Loi ne fut pas le moyen par lequel la promesse de la descendance d'Abraham est arrivée jusqu'à lui. Au contraire, elle lui a été indiquée par moyen de la Justice et de la Foi. Si la Loi régnât sur la Grâce et, par conséquent, les héritiers de la première fussent les vrais héritiers d'Abraham, la grâce, la foi et la promesse seraient nulles.
Paul garantit que,"Justifiés par Christ Jésus, nous avons la paix avec Dieu", car ce fut par Son intervention que nous atteignîmes la grâce dans laquelle nous sommes au temps présent.
Par l'offense d'un seul la mort est venue sur tous les hommes. Par la grâce, sont venues l'infinie miséricorde et le pardon de nos péchés commis auparavant bien comme l'éternelle paraclese de ces que, involontairement, nous allons commettre.
Le péché n'aura pouvoir jamais sur nous, car nous ne sommes plus sous la Loi, mais si sous la Grâce. Et tout cela parce que, où le péché a abondé, par cause de la Loi, la grâce a surabondée.
En Somme, par ce qu'a été exposé, on vérifie :
Qui nous étions éternellement perdus, adressés au feu d'enfer ;
Qui en Adam, nous avions seulement l'espérance citée en haut ;
Qui en Christ, le second Adam, espirituel, nous avons la justification de nos péchés par la grâce ;
Qui la Loi ne peut sauver aucune, mais si seul la grâce sauvetrice de Jésus Christ peut-elle nous garantir le pardon et le Salut éternel.
Merveilleuse Grâce!

domingo, 26 de agosto de 2012

LA GRACE DANS L’ANCIEN TESTAMENT

Grace – Faveur immeritée.
 
La grâce nous a été donné par Dieu dans la Personne de Notre Seigneur et Sauver Jésus Christ, comme une preuve de sa pitié envers les élus, étant cette concession une reconnaissance non de nos oeuvres méritoires, mais de notre nécessité, car nous étions par nature des enfants de colère et, tellement adressés à l'enfer.
Comme nous prétendons parler sur une si importante matière, il nous faut d'abord faire une exposition de l’opération de la grâce dans les divers âges dans lesquelles nous fûmes visités à travers la Providence Divine par la promesse jusqu'aux jours du Christ, quand la grâce se manifesta fort évidente entre nous, comme Paul écrivit aux Galates : mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption [de fils]”.
De cette façon, nous aborderons, en premier lieu, les manifestations de la grâce dans l’Ancien Testament, laquelle, quoique nous avions été sous la malédiction de la Loi, était présente en forme de promesse, et promesse de Ce qui n’y manque jamais.
 
LA GRACE DANS L’ANCIEN TESTAMENT
 
L’étude de la grâce dans l’Ancien Testament commence dans la vie d’Adam, notre premier père. D’abord, nous croyons à l’élection du Dieu envers nous, qui sommes choisis par Sa presciente sagesse.
Cela est prouvé par la première providence de Dieu après la chute de l'homme, quand lui, en son état originel de péché, se voyait dans le besoin d'être soigné pour ne pas rester éternellement perdu, complètement hors de Sa présence. Ici on peut voir la manifestation de la grâce à travers cet acte singulier et sans précèdent. On peut y voir aussi le soin, le zèle et la volonté éternels réfléchis dans cet acte de démonstration de la grâce.
Une autre manifestation vive et patente dans la vie d'Adam, en regard de la grâce, se trouve relatée en Gen. 3.15, lorsque le Dieu zélé, prenant d'autres dispositions vers l'homme, fait-il la promesse de la venue du Messie au monde, et qui serait l'accomplissement de la manifestation de la grâce dans la vie de l'homme.
On peut voir aussi implicite dans la vie de l'homme, une autre manifestation de la grâce, lorsque de la naissance de Seth, par dont les actes  et vie nous serions bénis, demeurant ce là au tronc généalogique de la grâce, considerant qu’il était la branche par laquelle il fallait descendre les enfants de l’obéissance, lesquelles commenceraient, depuis ce moment dorénavant, à invoquer le nom du Seigneur, et seraient, plus tard, dans la personne du juste Noé, conservés pour la génération dune nouvelle vie.
L’Eternel Dieu, en voyant que cette nouvelle génération, c’est-à-dire, les enfants du Seth, s’étaient corrompu avec les enfants du Caïn, il n’y ayant pas de différence de manière de vie, mais que tous s’étaien corrompus, comment parle Gen. 6.5-7, décida d’anéantir la race humaine. Pour faire ça, Il fit venir le déluge d’eaux sur la terre lequel fit disparaître tous, conservant, seulement, la famille du juste Noé, avec le propos de préserver sur la terre l’homme qu’il avait créé avec tout l’amour et soin à Son image et ressemblance.
Par la conservation de Noé et sa famille on voit, de manière patente, la manifestation de la grâce une fois de plus bénéficiant cet homme si mauvais, mais si chéris de Dieu, son Créateur. De cette famille naîtrait le Juste qui justifierait plusieurs.
Il ne prend pas trop de temps et on voit une autre fois la grâce de Dieu se manifestant dans la vie de l'homme, dans la personne d'Abraham, lorsque Dieu lui fait la promesse fidèle, pour en faire une grande et bénie nation.
On peut dire que même dans les trois cents et quelques années lesquelles nous connaissons comme période inter-biblique, cette grâce ne manqua pas d'agir. Et elle agit, tellement que s'entrevit à tous ces qui vinrent à connaitre son histoire et continuera encore s'entrevoyant à tous ces qui la connaîtront et l'étudieront.  
En Abraham, Dieu fait une nouvelle alliance avec l'homme lequel Il avait créé, une alliance que concernait à l'organisation d'un peuple choisi pour servir dans un Saint et Royal sacerdoce, afin de réfléchir Sa grâce sur tous, puisqu'à la réalisation de l'alliance Abrahamique, Il avait promis de faire de lui une bénédiction, en disant, aussi, qu'en lui seraient bénies toutes les familles de la Terre.
On peut voir dans cet acte une fois de plus la main de Dieu présente, puisque, par l'activité de ce peuple et par sa descendance, Il apporterait la réalisation de la grâce sur tous les hommes.
Une autre occasion dans laquelle nous fut manifeste la grâce de Dieu ce fut pendant la servitude du peuple d'Israël en Égypte. Là était un peuple qui se multiplierait dans le déserte du Sinaï, jusqu'à être un peuple tel que le sable de la mer, comme celui de la promesse divine.
Israël était en train d'être affligé. Mais, en réalité, Dieu voyait tout cela, attendant, seulement que le peuple qu'habitait la terre, laquelle, par promesse, appartenait à Israël, complétât la mesure de ses iniquités, pour que, à une action juste et reprimante, Il expulsât ce peuple-la, pour donner alors la terre de Canaan à Son peuple (Gen. 15. 16).
À la naissance d'Isaac, fis d'Abraham, on voit une fois de plus, la patente main de Dieu, Lorsqu'Il promet que de lui Il ferait la succession de la génération d'Abraham. Et en Isaac la promesse se répète encore une fois.
Avec Jacob on voit aussi la main de Dieu opérant miraculeusement, produisant les douze tribus qui seraient les possesseurs efficaces de la terre promise à Abraham, à Isaac et à Jacob, ses parents.
La grâce de Dieu a été manifesté et se manifestera toujours, même en éternité, quand, selon l'un des cantiques captés par Jéan dans sa vision céleste, nous irons bénir toujours le Saint et Benedit Agneau de Dieu, auteur de notre Salut.
Que merveilleuse c'est la grâce de Jésus, notre Dieu ! Que merveilleuse elle se nous présente, avec de l'air transmetteurs de pur et véritable amour ! Pour comprendre l'extension de la grâce de Christ, il faut que nous approchions humblement de Lui avec attitude de prière et, alors, persévérant dans cette attitude, nous pourrons analyser personnellement la manifestation de la grâce qui se manifeste autour de nous.
Quand le peuple d'Israël ne comptait pas déjà sur l'appui de Dieu, quand on n'écoutait pas déjà clairement l'annonce des promesses divines, Israël se vit devant un miracle. Le Dieu ne se rappela, proprement, de Son peuple ; Au contraire, Il n'oublia jamais de Son peuple. Rappelons-nous de Sa Parole : "Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l'Eternel." (Ésaïe 55.8).
Dans la personne de Moïse, on peut voir au plus près la manifestation de la grâce, lorsque le Seigneur lui prépare par quatre-vingts ans pour en utiliser à peu près à peine quarante. C'est pour le service de Dieu que Dieu lui prépara. Pour notre profit ; pour notre bénédiction.
L'exode par le déserte, la victoire sur divers peuples que s'opposait contre eux, le passage du peuple à travers La Mer Rouge, tout cela sont des manifestations de la grâce.
La centralisation du Royaume Davidique n'est plus rien qu'une manifestation de la grâce de Dieu, puisque, avec l'établissement de ce royaume, du renforcement est donné aux bénies promesses, quand le Seigneur Dieu garantit que le sceptre ne s'éloignerait jamais de Juda, tel qu'Il avait promis en Gen. 49.10, pour la bouche de Jacob.
Dès lors, le sceptre ne s'éloigna jamais de la maison de David, même sur la terre, puisque, quand le dernier des rois fut emmené captif en Babylone et quand on pensait que l'alliance divine s'était rompue, voilà, Zorobabel sort de Babylone, d'après l'ordre du Roi, avec la mission de réédifier, avec Néhémie, la cité de Juda, le temple et les murs de Jérusalem (Esd 2.1).
Jésus-Christ l'homme c'est la preuve de ce que le sceptre ne laisserait jamais la maison de David, puisque, étant lui de la descendance de David, nous, qui sommes cohéritiers avec lui, sommes aussi de la Famille Royal.
Mais la grâce ne reste à peine dans les manifestations prophétiques et futuristes. Elle prend corps dans la personne de notre chéri et amoureux Seigneur et Sauver Jésus-Christ, lors de sa naissance.


sexta-feira, 10 de agosto de 2012

CHERCHANT LA VIE ÉTERNELLE AVEC SERIETÉ

                                                           Luc 18.18-23

INTRODUCTION 

Cette narration se trouve dans les trois Évangiles synoptiques. Seul Jean n'en raconte pas. Ici, il y a la rencontre d'une âme qui appelle pour salut du point de vue éclectique. Quelqu'un qui attend de Jésus une réponse classique avec un sans pragmatique, c'est-à-dire, une réponse qui lui révèle quelque chose que lui soit utile et propice à quelque espèce de satisfaction pour sa vie.
Le pragmatisme surgit dans le Siècle XIX. Il affirme que le concept qu'on a d'un objet n'est plus rien que la somme des concepts de tous les effets concevables comme résultant des implications pratiques que nous pouvons donner pour l'objet référé.
Par conséquent, pour ce jeune-là, la Vie Éternelle était un bien de plus qu'il pourrait acquérir pour sommer aux autres biens qu’il dejà possédait.
Si on prête attention au discours de Jésus à ses disciples après la sortie de ce jeune-là, on verra que Jésus comprit parfaitement le sans de la demande qu'il lui avait fait.
À ce compte-là, on peut déduire de cette rencontre, quelques réalités qui transcendent la raison et la pensée humaines. 

I – UNE RECHERCHE TRANSCENDANTAL (ET BIEN FONDÉE) 

La recherche de ce jeune-là n'était pas une recherche bien fondée ; elle ne visait pas au transcendantal, mais si, au superficiel.
L'éxpérimentalisme, qui s'est basé sur le fait de l'expérience prouvée, applicable aujourd'hui aux sentiments d'âme, ne faisait pas partie de ses cogitations.
Ce jeune-là ne pensait pas à une expérience réelle avec Dieu pour la consécution de ses objectifs spirituels. Pas même lui passa à la pensée telle perspective, ce qui fut détecté par la pensée divine du Seigneur Jésus.
Il cherchait la satisfaction vers ses besoins matériels et voulait que ses envies fussent perpétuées pour toute l'éternité. 

II – UNE RECHERCHE MINUTIEUSE (ET RÉFLECHIE) 

Sa recherche était superficiel ; sa demande, irréfléchie. Il ne pourrait arriver à aucune place.
Devant la réponse sage de Jésus, en fonction du pragmatisme révélé dans sa demande, le jeune riche se jugeait bien fondé pour l'atteinte du but de sa recherche - la Vie Éternelle. 

III – UME RECHERCHE EXPÉRIMENTALE 

Au lié d'en chercher le salut comme une résultante de ses souffrances et ses échecs en fonction d'une vie de tentations et frustrations par la présence d'une réalité que faisait partie du monde de ses jours - le péché - il essaya d'obtenir la Vie Éternelle directement, comme une réponse classique à ses envies stoïques, dont il ne faut pas se préoccuper de la disgrâce et de la souffrance d'autres, mais ce qu'importe c'est la fin suprême d'une vie éternelle de biens et plaisir.

IV – LES CONÉQUENCES D’UNE RECHERCHE SUPERFICIELLE AU REGARD DU SALUT 

L'attitude de ce jeune-là c'est la même de beaucoup de personnes aujourd'hui. Plusieurs personnes veulent la Vie Éternelle sans se préoccuper du Salut.
La Parole de Dieu nous indique que la Vie Éternelle est la conséquence de l'acte du salut. Et il faut une expérience réelle quand le sujet réel c'est le salut de l'âme.
Vouloir la Vie Éternelle sans avoir l'intention de renoncer les concepts pragmatiques dont la justice d'une vie impolluée, morale et abondante, mais indifférente à la présence du péché, domine la pensée de ce qui veut vivre éternellement, c'est impossible, une fois que "tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3.23).
Personne ne peut fuir de cette réalité. La plus grande preuve de ce que l'homme ne vint pas du singe c'est la présence du péché dans la société humaine.  

CONCLUSION 

Il faut traiter cette question de la Vie Éternelle avec serieté. Nul ne peut l'obtenir sans être sauvé. 
Et pour être sauvé il faut laisser l'insensibilité envers la présence du péché. Le péché n'a pas d'odeur, il n'a pas de couler, il ne se fait pas sentir dans l'âme, à moins qu'on se reconnaisse pécheur et se place devant la sainteté divine et on se voie misérable, pauvre et perdu, pour en recevoir le pardon de ses péchés et être sauvé, pour recevoir la Vie Éternelle.

quinta-feira, 2 de agosto de 2012

MATIN RADIEUX


                                                                                              Wilson C. S. Lima



Dans le ciel, à peine une étoile brille.
C’est l’aube et la lune reste
dans la plénitude de son reflet.
Toutefois, bien que merveilleux le ciel,
au loin on voit, comme un noir voile,
de denses nuages
et le  poète reste à regarder perplexe. 

Combien d’eaux y seront ?
Peut-être millions de litres ou plus ...
Et  les nuées flottent, emmenées par le vent.
La lune ne brille pas non plus.
Maintenant, ce qu’on entend
c’est une triste chanson,
composée par l’air en mouvement. 

L’étoile... on ne la voit pas non plus.
                        ... Et le poète, extasié en soi,
les yeux vers le ciel, soupire et crie :
“Ou es-tu que je ne te vois” ?

E attend, attend, jusqu’à ce que surgit
Comme un lion qui se lève et rugit
– sans qu’on oie le son  de son rugissement  
le soleil, qui, comme un géant endormi
réveille, en réponse au poète séduit.

sábado, 28 de julho de 2012

LE SIGNIFICAT DE LA MORT DE CHRIST


Introduction 
Dans l’Ancien Testament, la parole “expiation” est la tradutcion littérale du terme hébraïque kippur qui est employé dans l’AT toujours dans le pluriel – kippurim.[1] Sa racine est le terme kaphar (couvrir), dont le sens est donné par le radical intensif kipper (racheter; ôter tout ce que couvre et empêche l’âme d’être vue en son état pur par Dieu).[2] C’est d’ici que vient le sans secondaire de “pardonner”. Quand on pardonne, on doit oublier quelque rance de culpabilité qui la personne pardonnée aie gardé avec celui qui l’a pardonné.
Dans la Septuaginte, le terme verbal qui traduit le sans d’expier vers le Grec est eksilaskomai, ce qui n’est pas employé dans le NT. Son substitut dans le NT est sa forme simple hilaskomai qui signifie “être propice”, c’est-à-dire, en faire propitiation, dont hilasterion (propitiatoire).
L’Expiation
L’expiation de la culpabilité est une exigence de Dieu à l’homme pêcheur, pour qu’il soit toujours dans la limite de la longanimité divine et ne soufre pas le poids de la colère de Dieu sur lui, à cause des péchés commis. C’est dans cet entendement que les nations païens sacrifient ses victimes pour apaiser la colère de ses dieux.[3]
C’est dans ce sans que Paul voit la mort de Christ, c’est-à-dire, comme expiatoire (Ro 3:25). En plusieurs rèférences, il associe distinctement la mort de Christ avec le rite et l’idée de sacrifice de L’Ancien Testament. Il fait une allusion directe à l’offrande du pêché qui était présentée par le Souverain Sacrificateur dans le grand Jour de L’Expiation. Paul décrit la mort de Christ comme “une offrande et un sacrifice de bonne odeur vers Dieu” (Eph. 5:2). En Christ, Dieu fit ce que la Loi ne pourrait pas faire avec le péché : “Dieu a condamné le pêché dans la chair, en envoyant, à cause du pêché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du pêché” (Ro. 8:3). L’expression  “à cause du péché” (peri hamartias) problablement se réfère à la mort expiatoire de Christ, un fait qui est reconnu, par la lecture dans la RSV,[4] “comme une offrande pour le péché”. Paul parle de Christ, de nouveau, comme notre agneau pascal, qui fut sacrifié (1 Cor.5:7).
L'aspect expiatoire de la mort de Christ est vue dans les fréquentes références à son sang. Dieu fit que Christ fusse la propitiation à travers son sang (Ro. 3:25); Nous sommes justifiés par son sang (Ro. 5:9); Nous obtenons la rédemption à travers son sang (Eph. 1:7); Nous nous approchons du Dieu par le sang du Christ (Eph. 2:13); Nous obtenons la paix à travers le sang de sa croix (Col. 1:20).
Jésus versa tout son sang dans la croix du Calvaire. Il mourut au besoin, exsangue, puisqu'il eut plusieurs hémorragies internes.  Il eut soif, ce que caractérise la perte du sang artériel. En ayant blessé par une lance, le peu de sang qu'il y avait encore dans son corps sorti avec de l'eau, puisqu'il fallait l'élément principal de sa composition - les hématies.
La mort de Christ fut aussi vicaire. Mourant pour nous tous, pécheurs, sa mort devint vicaire (1 Th. 5.10). En Ro. 5.8, Il mourut pour nous, “lorsque nous étions encore des pécheurs”. En Ro. 8. 32, Il se donna lui-même pour nous. En Eph. 5.2, Il se fit malédiction pour nous. Lorsque Paul affirma que “Dieu fit Christ devenir péché pour nous”, il voulut dire que Christ volontairement vint sous la tache du péché,   pénétra dans les plus profondes ténèbres et partagea avec les hommes sa terrible charge avec son chagrin.
La mort de Christ fut aussi substitutive. Mourant dans la croix pour chacun de nous, sa mort devint substitutive. Vraiment, chacun de nous devrait faire face au jugement de Dieu sur le péché et, par conséquent, comme nous ne pouvons pas nous délivrer humainement de sa condamnation et culpabilité, il a faillit qu’il se présentait comme substitut de chacun de nous, individuellement. Ceci reste clair dans le témoignage de Paul lorsqu’il raisonne : “A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien” (Ro. 5:7).
La mort de Christ fut aussi  propitiatoire. C’est-à-dire, elle nous fait arriver devant Dieu et atteindre Sa faveur. La propitiation nous rappelle la grâce, laquele, dans l’AT, était démontrée de manière réticent. En Christ, par sa mort propitiatoire, cela se fait éternelle et, ainsi, nous pouvons être toujours dévant le trône du Dieu, en grâce. Cette grâce si merveilleuse n’est pas présente seulement dans la conversion du pécheur, mais elle se fait présente de jour à jour et culminera avec son effet plus grand et éternel au jour du jugement, quand nous serons délivrés de la Colère de Dieu, parce qu’est Christ qui nous délivre de la colère future, comme l’Écriture nous dit : “A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère” (Rm 5.9); et “... et pour attendre des cieux son Fils, qu'il a ressuscité des morts, Jésus, qui nous délivre de la colère à venir.” (1 Ts 1.10).
La mort de Christ fut aussi  rédemptrice. Il y a quatre termes grecs qui pointent vers ce sans : lutron, apolutrosis, agorazo et exagorazo. Les deux premiers répondent pour la liberté, l’affranchissement. Ces-la sont formes dérivées de luo (lier, délivrer). Le pécheur est délivré par celui qui en peut lui délivrer, en deux situations. D’un côté, il est lié par Satan, pour avoir cédé à ses tentations et perdu la gloire de Dieu, devenant vulnérable aux attaques de l’Ennemi. Pour confier à Christ et invoquer Son Nom, le pécheur est délivré par lui des griffes de l’Ennemi et racheté par Dieu, en Christ. D’autre côté, il est affranchi, cessant d’être un simple serviteur rebelle et désobéissant à son Seigneur, qui ne veut pas qu’il périsse, mais que, par la Sainte  Justice, ira le condamner à l’enfer, pour n’avoir fait de Christ l’apaisant de la colère de Dieu, Juste Juge, sur lui et son péché. C’est comme Jésus dit : “Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait point ce que son maître fait; mais je vous ai appelés [mes] amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai ouï de mon Père”. (Jean 15.15).
Les deux derniers termes - agorazo et exagorazo, répondent pour l’achat et le rachat de quelque chose dans l’hypothèque. Agorazo était le verbe employé par les acheteurs d’esclaves. Parmi ces acheteurs il y avait ceux qui, étant bons et possédant richesses, se faisaient présents dans les marchés ou les enchères d’esclaves pour les acheter et, avec de documents d’affranchissement, leur donner la liberté. Exagorazo,  à la fois, concernait `l’acte du rachat d’hypothèques d’aucune chose de valeur que restait en gage et devrait être racheté avant qu’il y eût la perte de sa valeur fixée au moment de l’hypothèque.. En général, les banquiers et financiers d’alors tout faisaient pour augmenter la valeur attribuée à l’occasion de l’hypothèque. C’était trop difficile pour le prétendant de racheter cette hypothèque. Imagine le prix super-facturé à cause du péché et des passions infâmes et par l’acte rebelle de choix pour vivre tout le temps auparavant en rébellion contre Dieu, ce qu’augmentait  et super-facturait le rachat. Néanmoins, il paya le prix. Cent en cent, pour qu’il nous rachetât afin que nous pourrions être dans sa présence pour toujours, en gloire, dans son Royaume. Oh ! gloire !!!
Le salut devient, de même, super-valorisé, par analogue audace, par la hardiesse du Christ de faire face à la croix et, par elle, la mort. Notre salut n’a pas un prix à être payé avec monnaie humaine. Son prix eût déjà payé par Christ pour toute éternité.
Bien-aimés, valorisons notre salut.

P. S. Et si vous qui êtes en train de lire cette étude ne se trouvez encore sauvé en Christ, et n’avez encore fait votre confession de pécheur et n’avez encore appelé par le Nom de JÉSUS, c’est l’heure d’en faire. Ne fiez-vous à votre propre justice, car notre justice vient du Dieu, à travesrs Christ, et Il seul nous fait justifiés d’après nos péchés. La mort de Jésus fut réelle, puisqu’il mourut comme un homme pur et sans péché. Il peut, donc, sauver ces qui, humblement, reconnaissent sa seigneurie et son pouvoir de sauver.
Ayez la foi en JÉSUS, et Il vous sauvera maintenant, dans cet instant en qui vous êtes lisant cette étude.
La prochaine étude sera sur notre justification et réconciliation.
C’est très bon. Dieu vous bénisse avec les bénédictions des cieux et du pardon en Christ Jésus. Amen !


[1] Probablement ce soit le fait que, comme les péchés sont commises selon la vision théologique judaïque, plusieurs en même temps ou ils se trouvent accumulés, il y ait besoin de faire une expiation complète à chaque fois que l’intéressé cherche la busque a médiation sacerdotale.
[2] Cette-ci est la vision talmudique au sujet du Yom Kippur. Le terme au pluriel, dans la pratique, indique “élimination complète” de toutes les fautes, transgressions et culpabilité.
[3] Encore aujourd’hui il y a des peuples qui font des sacrifices d’animaux avec cet objectif, bien que nous savions que seule le Seigneur est Dieu.
[4] Revised Standard Version.