sábado, 28 de julho de 2012

LE SIGNIFICAT DE LA MORT DE CHRIST


Introduction 
Dans l’Ancien Testament, la parole “expiation” est la tradutcion littérale du terme hébraïque kippur qui est employé dans l’AT toujours dans le pluriel – kippurim.[1] Sa racine est le terme kaphar (couvrir), dont le sens est donné par le radical intensif kipper (racheter; ôter tout ce que couvre et empêche l’âme d’être vue en son état pur par Dieu).[2] C’est d’ici que vient le sans secondaire de “pardonner”. Quand on pardonne, on doit oublier quelque rance de culpabilité qui la personne pardonnée aie gardé avec celui qui l’a pardonné.
Dans la Septuaginte, le terme verbal qui traduit le sans d’expier vers le Grec est eksilaskomai, ce qui n’est pas employé dans le NT. Son substitut dans le NT est sa forme simple hilaskomai qui signifie “être propice”, c’est-à-dire, en faire propitiation, dont hilasterion (propitiatoire).
L’Expiation
L’expiation de la culpabilité est une exigence de Dieu à l’homme pêcheur, pour qu’il soit toujours dans la limite de la longanimité divine et ne soufre pas le poids de la colère de Dieu sur lui, à cause des péchés commis. C’est dans cet entendement que les nations païens sacrifient ses victimes pour apaiser la colère de ses dieux.[3]
C’est dans ce sans que Paul voit la mort de Christ, c’est-à-dire, comme expiatoire (Ro 3:25). En plusieurs rèférences, il associe distinctement la mort de Christ avec le rite et l’idée de sacrifice de L’Ancien Testament. Il fait une allusion directe à l’offrande du pêché qui était présentée par le Souverain Sacrificateur dans le grand Jour de L’Expiation. Paul décrit la mort de Christ comme “une offrande et un sacrifice de bonne odeur vers Dieu” (Eph. 5:2). En Christ, Dieu fit ce que la Loi ne pourrait pas faire avec le péché : “Dieu a condamné le pêché dans la chair, en envoyant, à cause du pêché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du pêché” (Ro. 8:3). L’expression  “à cause du péché” (peri hamartias) problablement se réfère à la mort expiatoire de Christ, un fait qui est reconnu, par la lecture dans la RSV,[4] “comme une offrande pour le péché”. Paul parle de Christ, de nouveau, comme notre agneau pascal, qui fut sacrifié (1 Cor.5:7).
L'aspect expiatoire de la mort de Christ est vue dans les fréquentes références à son sang. Dieu fit que Christ fusse la propitiation à travers son sang (Ro. 3:25); Nous sommes justifiés par son sang (Ro. 5:9); Nous obtenons la rédemption à travers son sang (Eph. 1:7); Nous nous approchons du Dieu par le sang du Christ (Eph. 2:13); Nous obtenons la paix à travers le sang de sa croix (Col. 1:20).
Jésus versa tout son sang dans la croix du Calvaire. Il mourut au besoin, exsangue, puisqu'il eut plusieurs hémorragies internes.  Il eut soif, ce que caractérise la perte du sang artériel. En ayant blessé par une lance, le peu de sang qu'il y avait encore dans son corps sorti avec de l'eau, puisqu'il fallait l'élément principal de sa composition - les hématies.
La mort de Christ fut aussi vicaire. Mourant pour nous tous, pécheurs, sa mort devint vicaire (1 Th. 5.10). En Ro. 5.8, Il mourut pour nous, “lorsque nous étions encore des pécheurs”. En Ro. 8. 32, Il se donna lui-même pour nous. En Eph. 5.2, Il se fit malédiction pour nous. Lorsque Paul affirma que “Dieu fit Christ devenir péché pour nous”, il voulut dire que Christ volontairement vint sous la tache du péché,   pénétra dans les plus profondes ténèbres et partagea avec les hommes sa terrible charge avec son chagrin.
La mort de Christ fut aussi substitutive. Mourant dans la croix pour chacun de nous, sa mort devint substitutive. Vraiment, chacun de nous devrait faire face au jugement de Dieu sur le péché et, par conséquent, comme nous ne pouvons pas nous délivrer humainement de sa condamnation et culpabilité, il a faillit qu’il se présentait comme substitut de chacun de nous, individuellement. Ceci reste clair dans le témoignage de Paul lorsqu’il raisonne : “A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien” (Ro. 5:7).
La mort de Christ fut aussi  propitiatoire. C’est-à-dire, elle nous fait arriver devant Dieu et atteindre Sa faveur. La propitiation nous rappelle la grâce, laquele, dans l’AT, était démontrée de manière réticent. En Christ, par sa mort propitiatoire, cela se fait éternelle et, ainsi, nous pouvons être toujours dévant le trône du Dieu, en grâce. Cette grâce si merveilleuse n’est pas présente seulement dans la conversion du pécheur, mais elle se fait présente de jour à jour et culminera avec son effet plus grand et éternel au jour du jugement, quand nous serons délivrés de la Colère de Dieu, parce qu’est Christ qui nous délivre de la colère future, comme l’Écriture nous dit : “A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère” (Rm 5.9); et “... et pour attendre des cieux son Fils, qu'il a ressuscité des morts, Jésus, qui nous délivre de la colère à venir.” (1 Ts 1.10).
La mort de Christ fut aussi  rédemptrice. Il y a quatre termes grecs qui pointent vers ce sans : lutron, apolutrosis, agorazo et exagorazo. Les deux premiers répondent pour la liberté, l’affranchissement. Ces-la sont formes dérivées de luo (lier, délivrer). Le pécheur est délivré par celui qui en peut lui délivrer, en deux situations. D’un côté, il est lié par Satan, pour avoir cédé à ses tentations et perdu la gloire de Dieu, devenant vulnérable aux attaques de l’Ennemi. Pour confier à Christ et invoquer Son Nom, le pécheur est délivré par lui des griffes de l’Ennemi et racheté par Dieu, en Christ. D’autre côté, il est affranchi, cessant d’être un simple serviteur rebelle et désobéissant à son Seigneur, qui ne veut pas qu’il périsse, mais que, par la Sainte  Justice, ira le condamner à l’enfer, pour n’avoir fait de Christ l’apaisant de la colère de Dieu, Juste Juge, sur lui et son péché. C’est comme Jésus dit : “Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait point ce que son maître fait; mais je vous ai appelés [mes] amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai ouï de mon Père”. (Jean 15.15).
Les deux derniers termes - agorazo et exagorazo, répondent pour l’achat et le rachat de quelque chose dans l’hypothèque. Agorazo était le verbe employé par les acheteurs d’esclaves. Parmi ces acheteurs il y avait ceux qui, étant bons et possédant richesses, se faisaient présents dans les marchés ou les enchères d’esclaves pour les acheter et, avec de documents d’affranchissement, leur donner la liberté. Exagorazo,  à la fois, concernait `l’acte du rachat d’hypothèques d’aucune chose de valeur que restait en gage et devrait être racheté avant qu’il y eût la perte de sa valeur fixée au moment de l’hypothèque.. En général, les banquiers et financiers d’alors tout faisaient pour augmenter la valeur attribuée à l’occasion de l’hypothèque. C’était trop difficile pour le prétendant de racheter cette hypothèque. Imagine le prix super-facturé à cause du péché et des passions infâmes et par l’acte rebelle de choix pour vivre tout le temps auparavant en rébellion contre Dieu, ce qu’augmentait  et super-facturait le rachat. Néanmoins, il paya le prix. Cent en cent, pour qu’il nous rachetât afin que nous pourrions être dans sa présence pour toujours, en gloire, dans son Royaume. Oh ! gloire !!!
Le salut devient, de même, super-valorisé, par analogue audace, par la hardiesse du Christ de faire face à la croix et, par elle, la mort. Notre salut n’a pas un prix à être payé avec monnaie humaine. Son prix eût déjà payé par Christ pour toute éternité.
Bien-aimés, valorisons notre salut.

P. S. Et si vous qui êtes en train de lire cette étude ne se trouvez encore sauvé en Christ, et n’avez encore fait votre confession de pécheur et n’avez encore appelé par le Nom de JÉSUS, c’est l’heure d’en faire. Ne fiez-vous à votre propre justice, car notre justice vient du Dieu, à travesrs Christ, et Il seul nous fait justifiés d’après nos péchés. La mort de Jésus fut réelle, puisqu’il mourut comme un homme pur et sans péché. Il peut, donc, sauver ces qui, humblement, reconnaissent sa seigneurie et son pouvoir de sauver.
Ayez la foi en JÉSUS, et Il vous sauvera maintenant, dans cet instant en qui vous êtes lisant cette étude.
La prochaine étude sera sur notre justification et réconciliation.
C’est très bon. Dieu vous bénisse avec les bénédictions des cieux et du pardon en Christ Jésus. Amen !


[1] Probablement ce soit le fait que, comme les péchés sont commises selon la vision théologique judaïque, plusieurs en même temps ou ils se trouvent accumulés, il y ait besoin de faire une expiation complète à chaque fois que l’intéressé cherche la busque a médiation sacerdotale.
[2] Cette-ci est la vision talmudique au sujet du Yom Kippur. Le terme au pluriel, dans la pratique, indique “élimination complète” de toutes les fautes, transgressions et culpabilité.
[3] Encore aujourd’hui il y a des peuples qui font des sacrifices d’animaux avec cet objectif, bien que nous savions que seule le Seigneur est Dieu.
[4] Revised Standard Version.

sexta-feira, 20 de julho de 2012

LE PROFIL DU PASTEUR

Introduction
Ici au Brésil, nous commémorons le Jour du Pasteur le deuxième dimanche de juin de chaque année. Ce jour pourrait être une date commémorative comme un jour quelconque, a moins que nous considérons l’institution du ministère Pastoral comme une institution divine. En vérité, elle n’est pas liée au ministère temporal de Christ, c’est-à-dire, pendant Église militante, mais elle se trouve au centre scatologique du propos de notre Dieu (v. 15).
Ainsi, c’est Dieu qui choit les pasteurs ; c’est Lui qui les donne à l’Église. Cette proposition se révèle, a priori, pour la vieille “qahal”, c’est-à-dire, l’Église dans le Desert, pendant peuple d’Israël. Toutefois, dans le temps du Dieu, a posteriori, soit l’Église dans le Desert soit l’Église du Nouveau Testament elles auraient à être unies dans une seule congrégation militante qui seraient formée d’après un groupe restant d’Israël plus les païens qui acceptaient la foi au Christ et devenaient sauvés par la grâce révélée en Lui.
C’est ce que nous comprenons d’après v. 14 : “...car je suis votre maître. Je vous prendrai, un d’une ville, deux d’une famille, et je vous ramènerai dans Sion”.
Dans les desseins du Dieu, l’Israël est l’épouse aimée, comme l’Église militante, en Christ, est Son épouse aimé.
Les Pasteurs – don de Dieu
Ainsi impliqué, ces bénédictions ne seraient pas pour l’Israël rebelle, mais pour l’Israël obéissant, qui serait formé des Juifs et païens qui obéissent à la foi en Christ Jésus – l’Église fondée et établie par Lui. Le Jour du Pasteur, donc, doit être commémoré comme un jour historique dans le calendrier éternel du Dieu.
Toutefois quelqu’un pourrait raisonner : Si le Ministère Pastoral se lie à temps lointains, comme dans l’antique qahal (Église dans le Désert), comment Paul, lorsqu’il écrit aux chrétiens d’Éphèese au sujet des dons légués par l’Esprit-Sainte à l’Église, énumère les pasteurs par derrière, impliquant, inclusive, qu’ils furent donnés à l’Église après le retour de Christ aux cieux, après l’établissement des douze apôtres (4v11)? Nous savons, inclusive, que ni tous les apôtres devinrent pasteurs. Quelques-uns furent martyrisés alors que commencèrent leur voyages missionaires.
Les pasteurs, donc, sont dons de Dieu à l'Église avant même que cette là eût été fondée et établie par Christ. Et, selon la promesse de Dieu vers le restant, ils seraient capacités à l'exercice de leur ministère. La connaissance (dê’ah) alliée au discernement (haskêl) mènerait un simple homme jusqu'à une position de guide d'un groupe sélect, choisi par Dieu en Christ, qui promouvrait Son royaume dans la terre jusqu'au jour en que l'Église sera élevée jusqu'aux lieux très haut vers l'encontre avec le Seigneur, dans l'air, demeurant avec Lui pour toujours (1 Ts 4.16-17).
Être pasteur, donc, est un grand privilège, avant même d'être une grande responsabilité. Privilège parce que la vocation est d'après le Seigneur. C'est Lui qui appelle, habilite et honore le ministre fidèle constitué par Lui pour paître le troupeau qui Lui-même l'a confié.
Cependant, comme a été impliqué au derrière paragraphe, ça ne cesse pas d'être une grande responsabilité, puisque sur le pasteur pèsent quelques compromissions :
1 - Il est un Ministre de la Parole. Ce n'est pas un ministère terrain, pris aux limites d'espace et de temps comme d'être ministre d'une gouverne, d'une portfolio quelconque, joint à un roi mortelle ou un royaume passager. Les valeurs de son portfolio sont de valeurs éternelles et son labeur a écho dans les cieux, dont sort la Parole qui ne "retournera" jamais vers le Seigneur "sans effet". Être pasteur est la même chose que se tenir à la brèche du mur pour la couvrir, empêchant, ainsi, l'avance du monde vers dans l'Église. Tout ce que le pasteur prêche à la chaire de son Église sera prévalant contre la géhenne, contre la perdition et contre le propre ennemi.
2 - Il est le porte-parole d'un Royaume éternel. Comme l'annonciateur de bonnes nouvelles le pasteur offre au monde le modèle d'Évangile qui prépare le pécher pour être avec Christ dans Son Royaume pour toujours. Et cela est un grand privilège, car, comme dit la Parole de Dieu, "Qu'ils sont beaux sur les montagnes les pieds de celui qui apporte de bonnes nouvelles, qui publie la paix" !
Le pasteur traite avec de personnes qui, auparavant, n'avaient pas espérance de salut et ne savait rien sur la responsabilité du pécher en face de la justice et du jugement divins. Mais le pasteur, comme un héraut fidèle, proclamant les bonnes nouvelles, propose au pécher la parole de réconciliation. Il dit au monde que quelque péché non confessé et abandonné en Christ servira de poids pour une juste condamnation, selon le norme de justice, vérité et sainteté du Dieu Juste, Saint et Vrai.
3 - Il est un exemple pour ses brebis. Sa fidélité doit être affleurée dans la compromission de prêcher la Parole, tempérée avec les valeurs éternelles de la consolation et de l'exhortation ; de la pureté et de la vérité ; du salut et du jugement sur ces qui la refusent. Le pasteur est un exemple de vie, d'honneur, d'intégrité, de moralité, quand le monde dans lequel nous vivons a cherché d'autres valeurs qui sont dans la contre-mains des valeurs contenues dans les attributs de notre Dieu.
En somme, le pasteur doit être trouvé fidèle par Celui qui l'appela ;
En militer dans la grande bataille de la Lumière contre les ténèbres, le pasteur doit être lumière ;
En cherchant à tempérer l'environ qui circonscrit son Église, le pasteur doit être sel ;
En enseigner à son église, le pasteur doit révéler connaissance de la Parole et discernement au sujet des dons donnés par l'Esprit-Sanite à l'Église ;
En cherchant la communion des membres de son église entre soi, le pasteur doit inspirer, en même temps qu'aspirer la communion avec son Dieu et avec ses brebis ;
En promouvoir l'Évangélisme dans son église, le pasteur doit sentir passion vers les âmes ;
Le pasteur doit être prêt à sourire avec ces qui sont contents et pleurer avec ces qui pleurent.
Concluant, le Jour du Pasteur est le jour dans lequel lui et son église pensent à son appel vers le ministère.
C'est le jour dans lequel lui et son église pensent à sa préparation théologique, indispensable, en ces temps de crises philosophiques et quand même théologiques, quand le message de repentance et confession des péchés, condition sine qua non pour qu'on cherche le salut en Christ, est en train de disparaître des chaires, plusieurs fois déjà transformées en tribunes et estrades électoraux.
C'est le jour dans lequel lui et son église pensent à sa foi. Combien de fois, frères qui font face à problèmes humainement impossibles de solution, cherchent dans le pasteur le secours para la prière. Pasteur, priez pour moi ; priez pour mes fils, pour ma fille, pour un problème par lequel nous sommes en train de passer ; priez pour mon fils, pour ma fille... Et le pasteur prie avec foi et Dieu répond, menant la meilleure solution pour le problème, présenté dans laquelle demande de prière.
Aujourd'hui, plus que jamais, nous avons besoin de pasteurs qui vient et respirent la foi communiquée par les Écritures. Pasteurs qui sentent passion pour les âmes perdues et qui aspirent à la venue du Royaume absolu de Dieu, avec la victoire de l'Église du Christ sur les puissances des ténèbres de manière totale et éternelle.
L'amour et l'humilité doit aussi faire partie des qualités vues par l'église dans son pasteur. Pour prêcher amour, on doit aimer en vérité. C'est ce que Jésus demanda du Pierre. "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (agapao) plus que ceux-ci" ? Et Pierre réponds : "Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime (fileo)" ; Jésus lui demanda de nouveau : "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (agapao)" ? Et Pierre répond de nouveau avec fileo. Jésus demanda la troisième fois : "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (fileo) ? Et Pierre répond : "Seigneur, tu sais (oida) toutes choses ; Tu sais (gnosko) que je t'aime (fileo).
 Jésus demanda de Pierre un amour plus fort que l'amour à ce qui avait souffert et était mort devant ses yeux, sans même qu'il déclarât l'amour pour solidarité à sa mort. Au contraire, il le nia devant les autorités.
Jésus demande des pasteurs un amour plus grande à Lui. La vision de la croix ne doit pas sortir de la pensée du pasteur qui prêche le message de la Croix de Christ. Dans la célébration de la cène, le pasteur doit montrer cet amour à l'Église, pour qui les incrédules qui soient par hasard présents, puissent trouver dans le message de la célébration sa possibilité de salut.
Je me rappelle dune certaine fois, lorsque je m'occupai de la célébration de la Cène du Seigneur et expliquait sa signification biblique à l'église, une jeune fille vint jusqu'au front, pleurant, confessant ses péchés et disant qu'elle recevait le Seigneur Jésus comme son Sauveur personnel.
Le pasteur est un homme de Dieu. Ses messages sont provenant des cieux. Ils ne retournent pas jusque là sans qu'en produisent fruits pour l'éternité.
La responsabilité est grande, mais plus grand est le privilège d'être pasteur, appelé d'après Dieu pour un ministère saint, fruit d'une sainte vocation.
Que Dieu bénisse tous les pasteurs que font le travail du Seigneur dans toutes les églises qui sont disséminées dans ce monde et que façons du second dimanche du juin le Jour Mondial du Pasteur.

sábado, 14 de julho de 2012

RELIGION: PROPOSITION DIVINE OU PRATIQUE HUMAINE?

Introduction
Le terme religio, onis vient du Latin et a comme sens principal l’idée de rattachement. Selon la Sainte Bible, cette idée est l’intention de Dieu envers l’homme. Ceci, à son tour, créé à l’image et à ressemblance de Dieu, devint désintéressé à la relation que lui avait été proposée et, conséquemment, égara de Dieu, se déliant de Lui complêtement.
La recherche pour l’être créé est une initiative de Dieu et, de cette manière, Il a dû être en Son style, selon Sa proposition à l’homme décadent. Religion est donc une proposition divine pour l’homme et a comme objectif réconcilier lui avec Dieu.
D’un autre côté, l’homme, dans sa tentative de chercher Dieu, broncha en son propre desseins et s’embarrassa en des activités rituels et mystiques, en mettant pour soi-même des barrières infranchissables qui résultent en un complet scepticisme en relation à la vraie foi, arrivent à croire à des croyances et règles et pratiques religieuses qui finit par le mener à une mer de doutes à l’égard de la personne du propre Dieu.
Étant elle une proposition de Dieu, l’homme doit chercher à comprendre Sa volonté et aller directement à elle, ayant pour but de vivre dans Sa présence continuellement.
La expérience des Grecs, observée par l’apôtre Paul, indique le tableau en lequel l’humanité a resté depuis les jours antiques jusqu’au présent, montrant, pourtant, l’existence d’une lumière à la fin du tunnel qui peut réveler la vrai direction à laquelle l’homme doit se tourner pour trouver Dieu.
Como pratique humaine, la religion assume certaines caractérístiques, dont les segments, variant ou non entre soi, finissent par induire l’homme à un éloignement imperceptible des objetifs et propos divins.
RELIGION COMME PROPOSITION DIVINE
Dés les jours plus anciens, lorsque l’homme vivait en pleine harmonie avec Dieu et Sa création, cet homme a exploité des bénédictions de Dieu à travers de la pluie, du soleil et des brises, exploitant du fruit des arbres fructueux, de l’eau potable et de l´air qu’il respire.
Tout cela est un don du Père des lumières que peut être avec plénitude et abondance ou avec pénurie, selon la relation de l’homme avec Le Créateur.
Les Saintes Écritures révèlent moments en la vie de quelques nations, incluant Israël, lorsque les dons du Créateur et Seigneur sont tournés rares, causant un préjudice pour l’agriculture, pour les troupeaux et, en moments de pic, pour le propre homme.
Le premier commandement de Dieu donné à l’homme dans l’Éden révèle le souci de Dieu envers cet homme et cherche à l’èlever vers l’obéissance pleine à Sa volonté.
Soit comme individu, soit comme en societé, l’homme devrait obéir à Dieu et marcher selon Sa volonté. Cependant, l’homme manqua la poursuite des objevtifs proposés par Dieu pour lui, et pécha, se rébellant contre celui-là, et manquant à faire Sa volonté.
Le résultat de ce triste évenement fut tragique non seullement pour l’homme, mais aussi pour toute la societé humaine, une foi que “tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Ro. 3v23).
Néammoins, le Dieu que crée est aussi le Dieu que soutient la création et, de cette façon, Il ne manquerait pas de pourvoir à l’homme les ressources nécessaires pour son rétablissement.
La proposition sur ce que Paul, l’apôtre parle, “Pour le mettre à exeécution lorsque les temps seraient accomplis, de réunir toutes choses en Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre” (Eph. 1v10), reflète l’intérêt de Dieu envers la création, surtout envers l’homme, de l’avoir un jour en communion avec Lui. Et pour cela, il faut à l’homme d’être éduqué pour vivre en societé non seulement avec le prochain, mais surtout, avec Dieu. Et c’est à ce ferme propos qui le Seigneur Dieu met la pierre fondamentale de la religion proposée par Lui pour l’homme: “celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon” (Ge. 3v15). C’st à dire: “de la postérité de la femme naîtra celui qui ècrasera la tête de la serpent (le diable)”. Telle prédiction, venant de la bouche de Dieu même, amena nos premiers parents à une reflection en accord avec son attitude légère envers la volonté divine, et fit ceux-là vivre en societé, cherchant plaire à Dieu, comme firent Hénoc et Noé et, plus tard, Abraham, Isaac et Jacob, dont vient le peuple d’Israël.
La religion proposée par Dieu à l’homme a un mélange de valeurs morales et spirituelles. Morales parce qu’elle mène l’homme à une vie interactive avec la société dans laquelle il vit, cherchant le bien commum; spirituelles parce qu’elle cherche à mettre lui en relation avec Dieu, cherchant à Lui plaire et Le servir, en même temps que, sous Sa dépendance (de Dieu), l’homme profitera de bénedictions abondantes que sont décrites à tout moment dans Sa Parole, dans le but de le conduire à une corrélation sous la forme d’une théocratie dans laquelle Dieu et l’homme s’interactionnent pour toujours.
La religion proposé par Dieu à l’homme cherche à réconcilier celui-ci avec Lui, et cette réconciliation peut seulement faire l’effet par la personne de Jésus Christ.
Le peuple d’Israël vivait dans cette expectative, sans comprendre le cœur de la proposition divine, mais comprenant sa fin, dont la manifestation serait l’accomplissement de la promesse de la venue du Christ.
La Loi comprenait le contexte de la religion proposée par Dieu pour Israël, et la grâce, le but, le cœur non compris par les pères anciens, mais revélé dans la plénitude des temps en la personne de Jésus Christ, le Fils de Dieu.
Le judaïsme a en soi des racines divines, comme contexte de la proposition de Dieu pour Israël, mais il a aussi des racines humaines parce qu’il fut transformé en préceptes et commandements d’hommes qui déviaient l’homme de Dieu plus que de le guider à Lui. Le Judaïsme peut être utile pour l’entendement sur la déviation que mena la religion  de “proposition divine” à la pratique humanine.
La comble de la proposition divine arriva avec Christ et en Christ, puisqu’Il est le but de la loi et des prophètes, en même temps qu’Il est la réponse à la proposition divine en Genèse 3v15.
En Lui toute les choses sont assemblées, c’est à dire, reliées, depuis l’accomplissement de ses clauses, une fois qu’elle est une proposition divine et, de cette façon, l’homme qui l’accepte doit se conformer à les clauses exposées par le proposeur qui est Dieu.
Comme un facteur éducatif et social, la religion chrétienne, fondée en Christ et ses apôtres, propose à l’homme une vie juste, pure et sainte, et le conduit à une interaction des valeurs éternelles que l’amènent à une vraie éducation, une fois que les enseignements de Jésus Christ, corroborés par L’Esprit-Sainte, sont basés sur l’amour de Dieu.
RELIGION COMME PRATIQUE HUMAINE
Un exemple biblique de religion comme pratique humaine, sans lien réel avec la proposition faite par Dieu à l’homme, est l’attitude de Jéroboam pendant la scission de Israël en les deux royaumes: du Nord et du Sud. Cette religion surgit, par conséquence, comme le fruit de la décision d’un homme  et elle était trop semblabe au judaïsme pratiqué par le peuple de Juda, avec la grande différence d’être une simple pratique humaine, car elle n’avait pas Dieu comme proposant, mais Jéroboam et ses conseillers. une religion idolâtre, dont le Dieu était un veau d’or, dupliqué pour faire face aux autels de Bethel et Dan, avec de fêtes et célébrations en de jours “qu’il avait choisi de son gré” (1 Rois 12v33b).
Le peuple d’Israël serait, maintenat, éduqué d’après le modèle religieux de son guide – un homme menteur et avide de pouvoir.
Jéroboam nous rappelle Mahomet et son Islamisme; Siddharta et son Bouddhisme; Les chinois et leur Taoïsme; Kardec et son Spiritisme.
QUELQUES IMPLICATIONS
Quand la religion sort de la catégorie de proposition divine vers pratique humaine, elle court le risque d’être écrasée par quelques idées hérétiques, comme l’Arianisme et le Gnosticisme. C’est ce qu’arriva au cours de l’Église Primitive. Le Gnosticisme, système philosophique-religieux que surgit dans le premiers siècles de notre âge et diversifié en plusiers sectes, visait à concilieer toutes les religions et à expliquer le sens plus profond par moyen de la gnose. Ce sont dogmes du Gnosticisme: l’émanation, la chute, la rédemption et la médiation faite par plusiers potences celestes entre la divinité et les hommes. Le Gnosticisme se rapport à la Cabale, au Neo-Platonisme et les doctrines d’Ario, fameux heresiarque d’Alexandrie (280-336), selon laquelle Christ était une créature avec une nature intermédaire entre la divinité et l’humanité. 
CONCLUSION
 Le monde devint le grand grenier des soi-disant religions pratiques, lorsque l’être humain chercha en la divinité une option de vie, commençant à ignorer le Propos de Dieu pour la salut de l’homme pécheur et perdu.
À l’occasion de IV Siècle, surgit dans Le Moyen Orient l’Islamism, avec de réponse à l’anxieté de l’homme vers la recherche d’une religion pratique. Le propos de Dieu pour Abraham fut confondu de telle façon que les prophètes Moïse e Élie furent considérés vrais, mais comme de messagers d’une réalité confuse: Le Plan de Dieu vers Israël manqua et donna lieu à un autre plan, dans lequel Dieu choit Ismaël, rejetant Isaac, de qui vint Mahomet, devenat le ‘vrai prophète d’Allah’ (Dieu, dans L’Islam).
D’un autre côté, au milieu de XIX Siècle, surgit Le Spiritisme Kardeciste, une autre pratique humaine, avec de citations bibliques, sans aucune exégèse basée sur les écrits originels, mutilant textes bibliques et niant le Propos de Dieu en Christ. Pour ses organisateurs, Jésus est un mélange de verité et mensonge, car, Ses appels pour que l’homme vienne jusqu’à Lui pour être sauvé, dans le cas contraire, il devient perdu pour toujours, sont ignorés de maniére éclétique, une fois qu’ils ne satisfont pas les idées publiées par le fondeur du Kardecism.
Et ainsi le monde suivit, appelant Dieu et Son Fils de menteurs, car les hommes nient l’authenticité des messages prophétiques et révélateurs en Christ et s’en vont par la pratique de la charité, jugeant être cela d’une valeur central pour la salut que, à propos, ils n’y croient pas, puisque la purification de l’esprit de l’être humain, selon ses enseignemens, parvient par de successives reincarnations jusqu’à la gnose, c’est dire, sa purification totale. Ils oublient que l’homme, qui est par nature pécheur, peut seulement être pardonné et purifié de seus péchés dans le sang de Jésus, versé sur la croix.
La triste réalité c’est que, dans l’éternité, ils vont se lamenter de leur mauvais choix et leur mépris pour ne pas examiner les Écritures - La Sainte Bible. Il suffit à l’homme lire dans Mt. 22v29: “Jésus leur répondit: Vous êtes dans l’lerreur, parce que vous ne comprenez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu”.
 Aussi, dans Jean 5v39: “Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de moi”.