Introduction
Le terme religio, onis vient du
Latin et a comme sens principal l’idée de rattachement.
Selon la Sainte Bible, cette idée est l’intention de Dieu envers l’homme. Ceci, à son tour, créé à l’image et à ressemblance
de Dieu, devint désintéressé à la relation que lui avait été proposée et, conséquemment,
égara de Dieu, se déliant de Lui complêtement.
La recherche pour l’être créé est une initiative de Dieu et, de cette manière, Il a dû
être en Son style, selon Sa proposition à l’homme décadent. Religion est donc une
proposition divine pour l’homme et a comme objectif réconcilier lui avec Dieu.
D’un autre côté,
l’homme, dans sa tentative de chercher Dieu,
broncha en son propre desseins et s’embarrassa en des activités rituels et
mystiques, en mettant pour soi-même des barrières infranchissables qui
résultent en un complet scepticisme en relation à la vraie foi, arrivent à
croire à des croyances et règles et pratiques religieuses qui finit par le
mener à une mer de doutes à l’égard de la personne du propre Dieu.
Étant elle une
proposition de Dieu, l’homme doit chercher à comprendre Sa volonté et aller
directement à elle, ayant pour but de vivre dans Sa présence continuellement.
La expérience des Grecs, observée par
l’apôtre Paul, indique le tableau en lequel l’humanité a resté depuis les jours
antiques jusqu’au présent, montrant, pourtant, l’existence d’une lumière à la
fin du tunnel qui peut réveler la vrai direction à laquelle l’homme doit se tourner
pour trouver Dieu.
Como pratique humaine, la religion assume
certaines caractérístiques, dont les
segments, variant ou non entre soi, finissent par induire l’homme à un éloignement imperceptible des objetifs et
propos divins.
RELIGION COMME PROPOSITION DIVINE
Dés les jours
plus anciens, lorsque l’homme vivait en pleine harmonie avec Dieu et Sa
création, cet homme a exploité des bénédictions de Dieu à travers de la pluie, du
soleil et des brises, exploitant du fruit des arbres fructueux, de l’eau
potable et de l´air qu’il respire.
Tout cela est un
don du Père des lumières que peut
être avec plénitude et abondance ou avec
pénurie, selon la relation de l’homme
avec Le Créateur.
Les Saintes
Écritures révèlent moments en la vie de
quelques nations, incluant Israël, lorsque
les dons du Créateur et Seigneur sont
tournés rares, causant un préjudice pour l’agriculture, pour les troupeaux
et, en moments de pic, pour le propre homme.
Le premier
commandement de Dieu donné à l’homme dans l’Éden révèle le souci de Dieu envers
cet homme et cherche à l’èlever vers l’obéissance pleine à Sa volonté.
Soit comme individu, soit comme en societé, l’homme
devrait obéir à Dieu et marcher selon Sa volonté. Cependant, l’homme manqua la poursuite des
objevtifs proposés par Dieu pour lui, et pécha, se rébellant contre celui-là,
et manquant à faire Sa volonté.
Le résultat de
ce triste évenement fut tragique non seullement pour l’homme, mais aussi pour
toute la societé humaine, une foi que “tous ont péché et sont privés de la
gloire de Dieu” (Ro. 3v23).
Néammoins, le
Dieu que crée est aussi le Dieu que soutient
la création et, de cette façon, Il ne manquerait pas de pourvoir à l’homme
les ressources nécessaires pour son rétablissement.
La proposition
sur ce que Paul, l’apôtre parle, “Pour le mettre à exeécution lorsque les temps
seraient accomplis, de réunir toutes choses en Christ, celles qui sont dans les
cieux et celles qui sont sur la terre” (Eph. 1v10), reflète l’intérêt de Dieu envers
la création, surtout envers l’homme, de l’avoir un jour en communion avec Lui.
Et pour cela, il faut à l’homme d’être éduqué pour vivre en societé non
seulement avec le prochain, mais surtout, avec Dieu. Et c’est à ce ferme propos
qui le Seigneur Dieu met la pierre fondamentale de la religion proposée par Lui
pour l’homme: “celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon” (Ge.
3v15). C’st à dire: “de la postérité de la femme naîtra celui qui ècrasera la
tête de la serpent (le diable)”. Telle prédiction, venant de la bouche de Dieu
même, amena nos premiers parents à une reflection en accord avec son attitude légère
envers la volonté divine, et fit ceux-là vivre en societé, cherchant plaire à
Dieu, comme firent Hénoc et Noé et, plus tard, Abraham, Isaac et Jacob, dont
vient le peuple d’Israël.
La religion
proposée par Dieu à l’homme a un mélange de valeurs morales et spirituelles. Morales
parce qu’elle mène l’homme à une vie interactive avec la société dans laquelle
il vit, cherchant le bien commum; spirituelles parce qu’elle cherche à mettre
lui en relation avec Dieu, cherchant à Lui plaire et Le servir, en même temps
que, sous Sa dépendance (de Dieu), l’homme profitera de bénedictions abondantes
que sont décrites à tout moment dans Sa Parole, dans le but de le conduire à
une corrélation sous la forme d’une théocratie dans laquelle Dieu et l’homme s’interactionnent
pour toujours.
La religion
proposé par Dieu à l’homme cherche à réconcilier celui-ci avec Lui, et cette
réconciliation peut seulement faire l’effet par la personne de Jésus Christ.
Le peuple
d’Israël vivait dans cette expectative, sans comprendre le cœur de la
proposition divine, mais comprenant sa fin, dont la manifestation serait l’accomplissement
de la promesse de la venue du Christ.
La Loi
comprenait le contexte de la religion proposée par Dieu pour Israël, et la grâce,
le but, le cœur non compris par les pères anciens, mais revélé dans la
plénitude des temps en la personne de Jésus Christ, le Fils de Dieu.
Le judaïsme a en soi des racines divines, comme contexte de la
proposition de Dieu pour Israël, mais il a aussi des racines humaines parce qu’il fut transformé en préceptes et commandements
d’hommes qui déviaient l’homme de Dieu plus que de le guider à Lui. Le Judaïsme
peut être utile pour l’entendement sur la déviation que mena la religion de “proposition divine” à la pratique humanine.
La comble de la proposition divine arriva
avec Christ et en Christ, puisqu’Il est le but de la loi et des
prophètes, en même temps qu’Il est la réponse à la proposition divine en Genèse
3v15.
En Lui toute les choses sont assemblées, c’est à
dire, reliées, depuis l’accomplissement de ses clauses, une fois qu’elle est
une proposition divine et, de cette façon, l’homme qui l’accepte doit se
conformer à les clauses exposées par le proposeur qui est Dieu.
Comme un facteur éducatif et social, la religion
chrétienne, fondée en Christ et ses apôtres, propose à l’homme une vie juste,
pure et sainte, et le conduit à une interaction des valeurs éternelles que l’amènent
à une vraie éducation, une fois que les enseignements de Jésus Christ,
corroborés par L’Esprit-Sainte, sont basés sur l’amour de Dieu.
RELIGION COMME PRATIQUE
HUMAINE
Un exemple biblique de religion comme pratique humaine,
sans lien réel avec la proposition faite par Dieu à l’homme, est l’attitude de
Jéroboam pendant la scission de Israël en les deux royaumes: du Nord et du Sud.
Cette religion surgit, par conséquence, comme le fruit de la décision d’un
homme et elle était trop semblabe au judaïsme
pratiqué par le peuple de Juda, avec la grande différence d’être une simple
pratique humaine, car elle n’avait pas Dieu comme proposant, mais Jéroboam et
ses conseillers. une religion idolâtre, dont le Dieu était un veau d’or,
dupliqué pour faire face aux autels de Bethel et Dan, avec de fêtes et célébrations
en de jours “qu’il avait choisi de son gré” (1 Rois 12v33b).
Le peuple d’Israël serait, maintenat, éduqué
d’après le modèle religieux de son guide – un homme menteur et avide de
pouvoir.
Jéroboam nous rappelle Mahomet et son Islamisme; Siddharta
et son Bouddhisme; Les chinois et leur Taoïsme; Kardec et son Spiritisme.
QUELQUES IMPLICATIONS
Quand la religion sort de la catégorie de proposition divine vers pratique
humaine, elle court le risque d’être écrasée par quelques idées hérétiques,
comme l’Arianisme et le Gnosticisme. C’est ce qu’arriva au cours de l’Église
Primitive. Le Gnosticisme, système philosophique-religieux que surgit dans le
premiers siècles de notre âge et diversifié en plusiers sectes, visait à concilieer
toutes les religions et à expliquer le sens plus profond par moyen de la gnose.
Ce sont dogmes du Gnosticisme: l’émanation, la chute, la rédemption et la médiation
faite par plusiers potences celestes entre la divinité et les hommes. Le
Gnosticisme se rapport à la Cabale, au Neo-Platonisme et les doctrines d’Ario,
fameux heresiarque d’Alexandrie (280-336), selon laquelle Christ était une
créature avec une nature intermédaire entre la divinité et l’humanité.
CONCLUSION
À l’occasion de IV Siècle, surgit dans Le Moyen Orient l’Islamism, avec de
réponse à l’anxieté de l’homme vers la recherche d’une religion pratique. Le
propos de Dieu pour Abraham fut confondu de telle façon que les prophètes Moïse
e Élie furent considérés vrais, mais comme de messagers d’une réalité confuse:
Le Plan de Dieu vers Israël manqua et donna lieu à un autre plan, dans lequel
Dieu choit Ismaël, rejetant Isaac, de qui vint Mahomet, devenat le ‘vrai
prophète d’Allah’ (Dieu, dans L’Islam).
D’un autre côté, au milieu de XIX Siècle, surgit Le Spiritisme Kardeciste, une
autre pratique humaine, avec de citations bibliques, sans aucune exégèse basée sur
les écrits originels, mutilant textes bibliques et niant le Propos de Dieu en
Christ. Pour ses organisateurs, Jésus est un mélange de verité et mensonge, car,
Ses appels pour que l’homme vienne jusqu’à Lui pour être sauvé, dans le cas
contraire, il devient perdu pour toujours, sont ignorés de maniére éclétique,
une fois qu’ils ne satisfont pas les idées publiées par le fondeur du
Kardecism.
Et ainsi le monde suivit, appelant Dieu et Son Fils de menteurs, car les
hommes nient l’authenticité des messages prophétiques et révélateurs en Christ
et s’en vont par la pratique de la charité, jugeant être cela d’une valeur
central pour la salut que, à propos, ils n’y croient pas, puisque la purification
de l’esprit de l’être humain, selon ses enseignemens, parvient par de successives
reincarnations jusqu’à la gnose, c’est dire, sa purification totale. Ils oublient que l’homme, qui est par nature
pécheur, peut seulement être pardonné et purifié de seus péchés dans le sang de
Jésus, versé sur la croix.
La triste
réalité c’est que, dans l’éternité, ils vont se lamenter de leur mauvais choix et
leur mépris pour ne pas examiner les Écritures - La Sainte Bible. Il suffit à
l’homme lire dans Mt. 22v29: “Jésus leur répondit: Vous êtes dans l’lerreur,
parce que vous ne comprenez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu”.
Aussi, dans
Jean 5v39: “Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la
vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de moi”.
Il vaut la peine lire ce Blog et y suivre.
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