sábado, 14 de julho de 2012

RELIGION: PROPOSITION DIVINE OU PRATIQUE HUMAINE?

Introduction
Le terme religio, onis vient du Latin et a comme sens principal l’idée de rattachement. Selon la Sainte Bible, cette idée est l’intention de Dieu envers l’homme. Ceci, à son tour, créé à l’image et à ressemblance de Dieu, devint désintéressé à la relation que lui avait été proposée et, conséquemment, égara de Dieu, se déliant de Lui complêtement.
La recherche pour l’être créé est une initiative de Dieu et, de cette manière, Il a dû être en Son style, selon Sa proposition à l’homme décadent. Religion est donc une proposition divine pour l’homme et a comme objectif réconcilier lui avec Dieu.
D’un autre côté, l’homme, dans sa tentative de chercher Dieu, broncha en son propre desseins et s’embarrassa en des activités rituels et mystiques, en mettant pour soi-même des barrières infranchissables qui résultent en un complet scepticisme en relation à la vraie foi, arrivent à croire à des croyances et règles et pratiques religieuses qui finit par le mener à une mer de doutes à l’égard de la personne du propre Dieu.
Étant elle une proposition de Dieu, l’homme doit chercher à comprendre Sa volonté et aller directement à elle, ayant pour but de vivre dans Sa présence continuellement.
La expérience des Grecs, observée par l’apôtre Paul, indique le tableau en lequel l’humanité a resté depuis les jours antiques jusqu’au présent, montrant, pourtant, l’existence d’une lumière à la fin du tunnel qui peut réveler la vrai direction à laquelle l’homme doit se tourner pour trouver Dieu.
Como pratique humaine, la religion assume certaines caractérístiques, dont les segments, variant ou non entre soi, finissent par induire l’homme à un éloignement imperceptible des objetifs et propos divins.
RELIGION COMME PROPOSITION DIVINE
Dés les jours plus anciens, lorsque l’homme vivait en pleine harmonie avec Dieu et Sa création, cet homme a exploité des bénédictions de Dieu à travers de la pluie, du soleil et des brises, exploitant du fruit des arbres fructueux, de l’eau potable et de l´air qu’il respire.
Tout cela est un don du Père des lumières que peut être avec plénitude et abondance ou avec pénurie, selon la relation de l’homme avec Le Créateur.
Les Saintes Écritures révèlent moments en la vie de quelques nations, incluant Israël, lorsque les dons du Créateur et Seigneur sont tournés rares, causant un préjudice pour l’agriculture, pour les troupeaux et, en moments de pic, pour le propre homme.
Le premier commandement de Dieu donné à l’homme dans l’Éden révèle le souci de Dieu envers cet homme et cherche à l’èlever vers l’obéissance pleine à Sa volonté.
Soit comme individu, soit comme en societé, l’homme devrait obéir à Dieu et marcher selon Sa volonté. Cependant, l’homme manqua la poursuite des objevtifs proposés par Dieu pour lui, et pécha, se rébellant contre celui-là, et manquant à faire Sa volonté.
Le résultat de ce triste évenement fut tragique non seullement pour l’homme, mais aussi pour toute la societé humaine, une foi que “tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Ro. 3v23).
Néammoins, le Dieu que crée est aussi le Dieu que soutient la création et, de cette façon, Il ne manquerait pas de pourvoir à l’homme les ressources nécessaires pour son rétablissement.
La proposition sur ce que Paul, l’apôtre parle, “Pour le mettre à exeécution lorsque les temps seraient accomplis, de réunir toutes choses en Christ, celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre” (Eph. 1v10), reflète l’intérêt de Dieu envers la création, surtout envers l’homme, de l’avoir un jour en communion avec Lui. Et pour cela, il faut à l’homme d’être éduqué pour vivre en societé non seulement avec le prochain, mais surtout, avec Dieu. Et c’est à ce ferme propos qui le Seigneur Dieu met la pierre fondamentale de la religion proposée par Lui pour l’homme: “celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon” (Ge. 3v15). C’st à dire: “de la postérité de la femme naîtra celui qui ècrasera la tête de la serpent (le diable)”. Telle prédiction, venant de la bouche de Dieu même, amena nos premiers parents à une reflection en accord avec son attitude légère envers la volonté divine, et fit ceux-là vivre en societé, cherchant plaire à Dieu, comme firent Hénoc et Noé et, plus tard, Abraham, Isaac et Jacob, dont vient le peuple d’Israël.
La religion proposée par Dieu à l’homme a un mélange de valeurs morales et spirituelles. Morales parce qu’elle mène l’homme à une vie interactive avec la société dans laquelle il vit, cherchant le bien commum; spirituelles parce qu’elle cherche à mettre lui en relation avec Dieu, cherchant à Lui plaire et Le servir, en même temps que, sous Sa dépendance (de Dieu), l’homme profitera de bénedictions abondantes que sont décrites à tout moment dans Sa Parole, dans le but de le conduire à une corrélation sous la forme d’une théocratie dans laquelle Dieu et l’homme s’interactionnent pour toujours.
La religion proposé par Dieu à l’homme cherche à réconcilier celui-ci avec Lui, et cette réconciliation peut seulement faire l’effet par la personne de Jésus Christ.
Le peuple d’Israël vivait dans cette expectative, sans comprendre le cœur de la proposition divine, mais comprenant sa fin, dont la manifestation serait l’accomplissement de la promesse de la venue du Christ.
La Loi comprenait le contexte de la religion proposée par Dieu pour Israël, et la grâce, le but, le cœur non compris par les pères anciens, mais revélé dans la plénitude des temps en la personne de Jésus Christ, le Fils de Dieu.
Le judaïsme a en soi des racines divines, comme contexte de la proposition de Dieu pour Israël, mais il a aussi des racines humaines parce qu’il fut transformé en préceptes et commandements d’hommes qui déviaient l’homme de Dieu plus que de le guider à Lui. Le Judaïsme peut être utile pour l’entendement sur la déviation que mena la religion  de “proposition divine” à la pratique humanine.
La comble de la proposition divine arriva avec Christ et en Christ, puisqu’Il est le but de la loi et des prophètes, en même temps qu’Il est la réponse à la proposition divine en Genèse 3v15.
En Lui toute les choses sont assemblées, c’est à dire, reliées, depuis l’accomplissement de ses clauses, une fois qu’elle est une proposition divine et, de cette façon, l’homme qui l’accepte doit se conformer à les clauses exposées par le proposeur qui est Dieu.
Comme un facteur éducatif et social, la religion chrétienne, fondée en Christ et ses apôtres, propose à l’homme une vie juste, pure et sainte, et le conduit à une interaction des valeurs éternelles que l’amènent à une vraie éducation, une fois que les enseignements de Jésus Christ, corroborés par L’Esprit-Sainte, sont basés sur l’amour de Dieu.
RELIGION COMME PRATIQUE HUMAINE
Un exemple biblique de religion comme pratique humaine, sans lien réel avec la proposition faite par Dieu à l’homme, est l’attitude de Jéroboam pendant la scission de Israël en les deux royaumes: du Nord et du Sud. Cette religion surgit, par conséquence, comme le fruit de la décision d’un homme  et elle était trop semblabe au judaïsme pratiqué par le peuple de Juda, avec la grande différence d’être une simple pratique humaine, car elle n’avait pas Dieu comme proposant, mais Jéroboam et ses conseillers. une religion idolâtre, dont le Dieu était un veau d’or, dupliqué pour faire face aux autels de Bethel et Dan, avec de fêtes et célébrations en de jours “qu’il avait choisi de son gré” (1 Rois 12v33b).
Le peuple d’Israël serait, maintenat, éduqué d’après le modèle religieux de son guide – un homme menteur et avide de pouvoir.
Jéroboam nous rappelle Mahomet et son Islamisme; Siddharta et son Bouddhisme; Les chinois et leur Taoïsme; Kardec et son Spiritisme.
QUELQUES IMPLICATIONS
Quand la religion sort de la catégorie de proposition divine vers pratique humaine, elle court le risque d’être écrasée par quelques idées hérétiques, comme l’Arianisme et le Gnosticisme. C’est ce qu’arriva au cours de l’Église Primitive. Le Gnosticisme, système philosophique-religieux que surgit dans le premiers siècles de notre âge et diversifié en plusiers sectes, visait à concilieer toutes les religions et à expliquer le sens plus profond par moyen de la gnose. Ce sont dogmes du Gnosticisme: l’émanation, la chute, la rédemption et la médiation faite par plusiers potences celestes entre la divinité et les hommes. Le Gnosticisme se rapport à la Cabale, au Neo-Platonisme et les doctrines d’Ario, fameux heresiarque d’Alexandrie (280-336), selon laquelle Christ était une créature avec une nature intermédaire entre la divinité et l’humanité. 
CONCLUSION
 Le monde devint le grand grenier des soi-disant religions pratiques, lorsque l’être humain chercha en la divinité une option de vie, commençant à ignorer le Propos de Dieu pour la salut de l’homme pécheur et perdu.
À l’occasion de IV Siècle, surgit dans Le Moyen Orient l’Islamism, avec de réponse à l’anxieté de l’homme vers la recherche d’une religion pratique. Le propos de Dieu pour Abraham fut confondu de telle façon que les prophètes Moïse e Élie furent considérés vrais, mais comme de messagers d’une réalité confuse: Le Plan de Dieu vers Israël manqua et donna lieu à un autre plan, dans lequel Dieu choit Ismaël, rejetant Isaac, de qui vint Mahomet, devenat le ‘vrai prophète d’Allah’ (Dieu, dans L’Islam).
D’un autre côté, au milieu de XIX Siècle, surgit Le Spiritisme Kardeciste, une autre pratique humaine, avec de citations bibliques, sans aucune exégèse basée sur les écrits originels, mutilant textes bibliques et niant le Propos de Dieu en Christ. Pour ses organisateurs, Jésus est un mélange de verité et mensonge, car, Ses appels pour que l’homme vienne jusqu’à Lui pour être sauvé, dans le cas contraire, il devient perdu pour toujours, sont ignorés de maniére éclétique, une fois qu’ils ne satisfont pas les idées publiées par le fondeur du Kardecism.
Et ainsi le monde suivit, appelant Dieu et Son Fils de menteurs, car les hommes nient l’authenticité des messages prophétiques et révélateurs en Christ et s’en vont par la pratique de la charité, jugeant être cela d’une valeur central pour la salut que, à propos, ils n’y croient pas, puisque la purification de l’esprit de l’être humain, selon ses enseignemens, parvient par de successives reincarnations jusqu’à la gnose, c’est dire, sa purification totale. Ils oublient que l’homme, qui est par nature pécheur, peut seulement être pardonné et purifié de seus péchés dans le sang de Jésus, versé sur la croix.
La triste réalité c’est que, dans l’éternité, ils vont se lamenter de leur mauvais choix et leur mépris pour ne pas examiner les Écritures - La Sainte Bible. Il suffit à l’homme lire dans Mt. 22v29: “Jésus leur répondit: Vous êtes dans l’lerreur, parce que vous ne comprenez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu”.
 Aussi, dans Jean 5v39: “Vous sondez les Écritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de moi”.

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