domingo, 26 de agosto de 2012

LA GRACE DANS L’ANCIEN TESTAMENT

Grace – Faveur immeritée.
 
La grâce nous a été donné par Dieu dans la Personne de Notre Seigneur et Sauver Jésus Christ, comme une preuve de sa pitié envers les élus, étant cette concession une reconnaissance non de nos oeuvres méritoires, mais de notre nécessité, car nous étions par nature des enfants de colère et, tellement adressés à l'enfer.
Comme nous prétendons parler sur une si importante matière, il nous faut d'abord faire une exposition de l’opération de la grâce dans les divers âges dans lesquelles nous fûmes visités à travers la Providence Divine par la promesse jusqu'aux jours du Christ, quand la grâce se manifesta fort évidente entre nous, comme Paul écrivit aux Galates : mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption [de fils]”.
De cette façon, nous aborderons, en premier lieu, les manifestations de la grâce dans l’Ancien Testament, laquelle, quoique nous avions été sous la malédiction de la Loi, était présente en forme de promesse, et promesse de Ce qui n’y manque jamais.
 
LA GRACE DANS L’ANCIEN TESTAMENT
 
L’étude de la grâce dans l’Ancien Testament commence dans la vie d’Adam, notre premier père. D’abord, nous croyons à l’élection du Dieu envers nous, qui sommes choisis par Sa presciente sagesse.
Cela est prouvé par la première providence de Dieu après la chute de l'homme, quand lui, en son état originel de péché, se voyait dans le besoin d'être soigné pour ne pas rester éternellement perdu, complètement hors de Sa présence. Ici on peut voir la manifestation de la grâce à travers cet acte singulier et sans précèdent. On peut y voir aussi le soin, le zèle et la volonté éternels réfléchis dans cet acte de démonstration de la grâce.
Une autre manifestation vive et patente dans la vie d'Adam, en regard de la grâce, se trouve relatée en Gen. 3.15, lorsque le Dieu zélé, prenant d'autres dispositions vers l'homme, fait-il la promesse de la venue du Messie au monde, et qui serait l'accomplissement de la manifestation de la grâce dans la vie de l'homme.
On peut voir aussi implicite dans la vie de l'homme, une autre manifestation de la grâce, lorsque de la naissance de Seth, par dont les actes  et vie nous serions bénis, demeurant ce là au tronc généalogique de la grâce, considerant qu’il était la branche par laquelle il fallait descendre les enfants de l’obéissance, lesquelles commenceraient, depuis ce moment dorénavant, à invoquer le nom du Seigneur, et seraient, plus tard, dans la personne du juste Noé, conservés pour la génération dune nouvelle vie.
L’Eternel Dieu, en voyant que cette nouvelle génération, c’est-à-dire, les enfants du Seth, s’étaient corrompu avec les enfants du Caïn, il n’y ayant pas de différence de manière de vie, mais que tous s’étaien corrompus, comment parle Gen. 6.5-7, décida d’anéantir la race humaine. Pour faire ça, Il fit venir le déluge d’eaux sur la terre lequel fit disparaître tous, conservant, seulement, la famille du juste Noé, avec le propos de préserver sur la terre l’homme qu’il avait créé avec tout l’amour et soin à Son image et ressemblance.
Par la conservation de Noé et sa famille on voit, de manière patente, la manifestation de la grâce une fois de plus bénéficiant cet homme si mauvais, mais si chéris de Dieu, son Créateur. De cette famille naîtrait le Juste qui justifierait plusieurs.
Il ne prend pas trop de temps et on voit une autre fois la grâce de Dieu se manifestant dans la vie de l'homme, dans la personne d'Abraham, lorsque Dieu lui fait la promesse fidèle, pour en faire une grande et bénie nation.
On peut dire que même dans les trois cents et quelques années lesquelles nous connaissons comme période inter-biblique, cette grâce ne manqua pas d'agir. Et elle agit, tellement que s'entrevit à tous ces qui vinrent à connaitre son histoire et continuera encore s'entrevoyant à tous ces qui la connaîtront et l'étudieront.  
En Abraham, Dieu fait une nouvelle alliance avec l'homme lequel Il avait créé, une alliance que concernait à l'organisation d'un peuple choisi pour servir dans un Saint et Royal sacerdoce, afin de réfléchir Sa grâce sur tous, puisqu'à la réalisation de l'alliance Abrahamique, Il avait promis de faire de lui une bénédiction, en disant, aussi, qu'en lui seraient bénies toutes les familles de la Terre.
On peut voir dans cet acte une fois de plus la main de Dieu présente, puisque, par l'activité de ce peuple et par sa descendance, Il apporterait la réalisation de la grâce sur tous les hommes.
Une autre occasion dans laquelle nous fut manifeste la grâce de Dieu ce fut pendant la servitude du peuple d'Israël en Égypte. Là était un peuple qui se multiplierait dans le déserte du Sinaï, jusqu'à être un peuple tel que le sable de la mer, comme celui de la promesse divine.
Israël était en train d'être affligé. Mais, en réalité, Dieu voyait tout cela, attendant, seulement que le peuple qu'habitait la terre, laquelle, par promesse, appartenait à Israël, complétât la mesure de ses iniquités, pour que, à une action juste et reprimante, Il expulsât ce peuple-la, pour donner alors la terre de Canaan à Son peuple (Gen. 15. 16).
À la naissance d'Isaac, fis d'Abraham, on voit une fois de plus, la patente main de Dieu, Lorsqu'Il promet que de lui Il ferait la succession de la génération d'Abraham. Et en Isaac la promesse se répète encore une fois.
Avec Jacob on voit aussi la main de Dieu opérant miraculeusement, produisant les douze tribus qui seraient les possesseurs efficaces de la terre promise à Abraham, à Isaac et à Jacob, ses parents.
La grâce de Dieu a été manifesté et se manifestera toujours, même en éternité, quand, selon l'un des cantiques captés par Jéan dans sa vision céleste, nous irons bénir toujours le Saint et Benedit Agneau de Dieu, auteur de notre Salut.
Que merveilleuse c'est la grâce de Jésus, notre Dieu ! Que merveilleuse elle se nous présente, avec de l'air transmetteurs de pur et véritable amour ! Pour comprendre l'extension de la grâce de Christ, il faut que nous approchions humblement de Lui avec attitude de prière et, alors, persévérant dans cette attitude, nous pourrons analyser personnellement la manifestation de la grâce qui se manifeste autour de nous.
Quand le peuple d'Israël ne comptait pas déjà sur l'appui de Dieu, quand on n'écoutait pas déjà clairement l'annonce des promesses divines, Israël se vit devant un miracle. Le Dieu ne se rappela, proprement, de Son peuple ; Au contraire, Il n'oublia jamais de Son peuple. Rappelons-nous de Sa Parole : "Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l'Eternel." (Ésaïe 55.8).
Dans la personne de Moïse, on peut voir au plus près la manifestation de la grâce, lorsque le Seigneur lui prépare par quatre-vingts ans pour en utiliser à peu près à peine quarante. C'est pour le service de Dieu que Dieu lui prépara. Pour notre profit ; pour notre bénédiction.
L'exode par le déserte, la victoire sur divers peuples que s'opposait contre eux, le passage du peuple à travers La Mer Rouge, tout cela sont des manifestations de la grâce.
La centralisation du Royaume Davidique n'est plus rien qu'une manifestation de la grâce de Dieu, puisque, avec l'établissement de ce royaume, du renforcement est donné aux bénies promesses, quand le Seigneur Dieu garantit que le sceptre ne s'éloignerait jamais de Juda, tel qu'Il avait promis en Gen. 49.10, pour la bouche de Jacob.
Dès lors, le sceptre ne s'éloigna jamais de la maison de David, même sur la terre, puisque, quand le dernier des rois fut emmené captif en Babylone et quand on pensait que l'alliance divine s'était rompue, voilà, Zorobabel sort de Babylone, d'après l'ordre du Roi, avec la mission de réédifier, avec Néhémie, la cité de Juda, le temple et les murs de Jérusalem (Esd 2.1).
Jésus-Christ l'homme c'est la preuve de ce que le sceptre ne laisserait jamais la maison de David, puisque, étant lui de la descendance de David, nous, qui sommes cohéritiers avec lui, sommes aussi de la Famille Royal.
Mais la grâce ne reste à peine dans les manifestations prophétiques et futuristes. Elle prend corps dans la personne de notre chéri et amoureux Seigneur et Sauver Jésus-Christ, lors de sa naissance.


sexta-feira, 10 de agosto de 2012

CHERCHANT LA VIE ÉTERNELLE AVEC SERIETÉ

                                                           Luc 18.18-23

INTRODUCTION 

Cette narration se trouve dans les trois Évangiles synoptiques. Seul Jean n'en raconte pas. Ici, il y a la rencontre d'une âme qui appelle pour salut du point de vue éclectique. Quelqu'un qui attend de Jésus une réponse classique avec un sans pragmatique, c'est-à-dire, une réponse qui lui révèle quelque chose que lui soit utile et propice à quelque espèce de satisfaction pour sa vie.
Le pragmatisme surgit dans le Siècle XIX. Il affirme que le concept qu'on a d'un objet n'est plus rien que la somme des concepts de tous les effets concevables comme résultant des implications pratiques que nous pouvons donner pour l'objet référé.
Par conséquent, pour ce jeune-là, la Vie Éternelle était un bien de plus qu'il pourrait acquérir pour sommer aux autres biens qu’il dejà possédait.
Si on prête attention au discours de Jésus à ses disciples après la sortie de ce jeune-là, on verra que Jésus comprit parfaitement le sans de la demande qu'il lui avait fait.
À ce compte-là, on peut déduire de cette rencontre, quelques réalités qui transcendent la raison et la pensée humaines. 

I – UNE RECHERCHE TRANSCENDANTAL (ET BIEN FONDÉE) 

La recherche de ce jeune-là n'était pas une recherche bien fondée ; elle ne visait pas au transcendantal, mais si, au superficiel.
L'éxpérimentalisme, qui s'est basé sur le fait de l'expérience prouvée, applicable aujourd'hui aux sentiments d'âme, ne faisait pas partie de ses cogitations.
Ce jeune-là ne pensait pas à une expérience réelle avec Dieu pour la consécution de ses objectifs spirituels. Pas même lui passa à la pensée telle perspective, ce qui fut détecté par la pensée divine du Seigneur Jésus.
Il cherchait la satisfaction vers ses besoins matériels et voulait que ses envies fussent perpétuées pour toute l'éternité. 

II – UNE RECHERCHE MINUTIEUSE (ET RÉFLECHIE) 

Sa recherche était superficiel ; sa demande, irréfléchie. Il ne pourrait arriver à aucune place.
Devant la réponse sage de Jésus, en fonction du pragmatisme révélé dans sa demande, le jeune riche se jugeait bien fondé pour l'atteinte du but de sa recherche - la Vie Éternelle. 

III – UME RECHERCHE EXPÉRIMENTALE 

Au lié d'en chercher le salut comme une résultante de ses souffrances et ses échecs en fonction d'une vie de tentations et frustrations par la présence d'une réalité que faisait partie du monde de ses jours - le péché - il essaya d'obtenir la Vie Éternelle directement, comme une réponse classique à ses envies stoïques, dont il ne faut pas se préoccuper de la disgrâce et de la souffrance d'autres, mais ce qu'importe c'est la fin suprême d'une vie éternelle de biens et plaisir.

IV – LES CONÉQUENCES D’UNE RECHERCHE SUPERFICIELLE AU REGARD DU SALUT 

L'attitude de ce jeune-là c'est la même de beaucoup de personnes aujourd'hui. Plusieurs personnes veulent la Vie Éternelle sans se préoccuper du Salut.
La Parole de Dieu nous indique que la Vie Éternelle est la conséquence de l'acte du salut. Et il faut une expérience réelle quand le sujet réel c'est le salut de l'âme.
Vouloir la Vie Éternelle sans avoir l'intention de renoncer les concepts pragmatiques dont la justice d'une vie impolluée, morale et abondante, mais indifférente à la présence du péché, domine la pensée de ce qui veut vivre éternellement, c'est impossible, une fois que "tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3.23).
Personne ne peut fuir de cette réalité. La plus grande preuve de ce que l'homme ne vint pas du singe c'est la présence du péché dans la société humaine.  

CONCLUSION 

Il faut traiter cette question de la Vie Éternelle avec serieté. Nul ne peut l'obtenir sans être sauvé. 
Et pour être sauvé il faut laisser l'insensibilité envers la présence du péché. Le péché n'a pas d'odeur, il n'a pas de couler, il ne se fait pas sentir dans l'âme, à moins qu'on se reconnaisse pécheur et se place devant la sainteté divine et on se voie misérable, pauvre et perdu, pour en recevoir le pardon de ses péchés et être sauvé, pour recevoir la Vie Éternelle.

quinta-feira, 2 de agosto de 2012

MATIN RADIEUX


                                                                                              Wilson C. S. Lima



Dans le ciel, à peine une étoile brille.
C’est l’aube et la lune reste
dans la plénitude de son reflet.
Toutefois, bien que merveilleux le ciel,
au loin on voit, comme un noir voile,
de denses nuages
et le  poète reste à regarder perplexe. 

Combien d’eaux y seront ?
Peut-être millions de litres ou plus ...
Et  les nuées flottent, emmenées par le vent.
La lune ne brille pas non plus.
Maintenant, ce qu’on entend
c’est une triste chanson,
composée par l’air en mouvement. 

L’étoile... on ne la voit pas non plus.
                        ... Et le poète, extasié en soi,
les yeux vers le ciel, soupire et crie :
“Ou es-tu que je ne te vois” ?

E attend, attend, jusqu’à ce que surgit
Comme un lion qui se lève et rugit
– sans qu’on oie le son  de son rugissement  
le soleil, qui, comme un géant endormi
réveille, en réponse au poète séduit.