sexta-feira, 14 de setembro de 2012

LA GRÂCE DANS LE NOUVEAU TESTAMENT

Grâce – Faveur immeritée.
 
La grâce nous a été donné par Dieu dans la Personne de Notre Seigneur et Sauver Jésus Christ, comme une preuve de sa pitié envers les élus, étant cette concession une reconnaissance non de nos oeuvres méritoires, mais de notre nécessité, car nous étions par nature des enfants de colère et, tellement adressés à l'enfer.
Comme nous prétendons parler sur une si importante matière, il nous faut d'abord faire une exposition de l’opération de la grâce dans les divers âges dans lesquelles nous fûmes visités à travers la Providence Divine par la promesse jusqu'aux jours du Christ, quand la grâce se manifesta fort évidente entre nous, comme Paul écrivit aux Galates : mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi, afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption [de fils]”.
De cette façon, nous aborderons, en premier lieu, les manifestations de la grâce dans l’Ancien Testament, laquelle, quoique nous avions été sous la malédiction de la Loi, était présente en forme de promesse, et promesse de Ce qui n’y manque jamais.
LA GRÂCE DANS LE NOUVEAU TESTAMENT
 
Rappelons-nous de la promesse en Gen. 3.15 – La semence de la femme qu’écraserait la tête de la serpente.
Et ça n'a pas manqué d'arriver sous Christ, car il est venu au monde avec le but d'anéantir le pouvoir du diable sur les enfants de Dieu par la Grâce de Christ. La naissance de Jésus signale pour le croyant le commencement d'une vie future, pas utopique, mais trop réelle, dans laquelle tous nous qui serons en Lui vivrons abondamment.
Bethléhem fut la cité élue par Dieu pour être le lieu où la Grâce se manifesterait matériellement. De manière matérielle, par contraste avec la nature spirituelle de la Grâce qui ne se limite pas à un lieu mais si, qui est infinie et infiniment présent, indépendant d'espace et temps.
Israël fut le peuple, Juda la tribu et Jésus le véhicule par lequel la Grâce serait manifestée dans sa plénitude.
À l'annonce de la naissance de Jean le Baptiste nous voyons présente la grâce en train de préparer terrain pour qui en Christ elle se confirmât de plus en plus.
Au baptême de Jésus Christ par Jean le Baptiste, lorsque le Seigneur Dieu, à la sortie de Christ des eaux de la rivière Jourdain, lui confère le titre de "MON BIEN-AIMÉ", nous sentons la manifestation de la Grâce encore une fois se concrétisent dans la vie de l'homme.
À la tentation de Jésus, quand nous y avons l'enseignement de comme on vaincre la tentation du Diable, on y voit aussi la merveilleuse Grâce prient soin de nous, des pécheurs.
Au choix de ses disciples, lorsqu'Il choisit ce que porteraient l'Évangile, au risque de ses propres vies, on peut voir, encore une fois, la manifestation de la Grâce.
Les miracles sont la grande preuve de cette merveilleuse grâce qui nous apporte la bénie joie de nous sentir aidés par Dieu, et que Dieu même n'a pas oublié quelqu'un de nous, comme nous pourrions penser s'Il ne se manifestât jamais à nous.
On peut voir, de cette façon, la manifestation de la grâce divine à l'incarnation de La Parole, lorsque Jésus vint demeurer avec nous, habitant au milieu de nous, quand nous vîmes Sa Gloire évidemment.
À la transformation de l'eau en vin, à la rencontre de la femme samaritaine et sa conséquent conversion, à la multiplication des pains en tous les deux occasions racontées dans La Sainte Écriture, à la résurrection de Lazare, du fils de la veuve de Naïn, à la promesse d'un autre Consolateur, à la Prière Sacerdotale, à la Crucifixion de Christ, Sa mort et Résurrection, on peut voir la manifestation totale de la Grâce de Dieu, en Christ, superabundante en nos coeurs.
Au Pentencote, à la conversion de Saul de Tarse en Paul l'apôtre de Notre Seigneur Jésus Christ, à la conversion de Corneille, païen, aux prises de Paul, Pierre, Silas et Jean, on peut vérifier la manifestante grâce parmi tous ces évènements si importantes pour nous.
En Romains 3.23, Paul écrit disant que nous sommes justifiés par la Grâce, c'est-à-dire, gratuitement, à travers la rédemption qui est en Christ Jésus. Alors, la grâce est implicite dans le terme "gratuitement", puisque d'une façon gratuite Jésus nous a rachetés pour toujours. Néanmoins, le terme grâce transcende la compréhension de ce qui est inséré dans le premier terme, puisque, au-delà de ne demander aucun prix ou aucun matériel en change, Il se donna encore plus, lorsque par lui-même, Il fit la rédemption des justifiés.
LA LOI ET LA GRÂCE
La Loi est en conflit permanent avec la grâce, puisqu'il n'y a aucune harmonie entre la culpabilité et le pardon.
La Loi fut coupable de la mort spirituelle et matérielle de l'homme, parce qu'on voit selon la déclaration de Paul, lorsqu'il dit qu'il ne connut pas le péché, sinon par la Loi.
Dans le chapitre 4 on voit le contraste qui existe entre la Grâce et la Loi, et la manière comment Paul voit les deux, comme une antithèse parallèle, si en on peut dire, mettant en évidence les deux extrêmes.
Parce qu'on lit dans le texte référé, la Loi ne fut pas le moyen par lequel la promesse de la descendance d'Abraham est arrivée jusqu'à lui. Au contraire, elle lui a été indiquée par moyen de la Justice et de la Foi. Si la Loi régnât sur la Grâce et, par conséquent, les héritiers de la première fussent les vrais héritiers d'Abraham, la grâce, la foi et la promesse seraient nulles.
Paul garantit que,"Justifiés par Christ Jésus, nous avons la paix avec Dieu", car ce fut par Son intervention que nous atteignîmes la grâce dans laquelle nous sommes au temps présent.
Par l'offense d'un seul la mort est venue sur tous les hommes. Par la grâce, sont venues l'infinie miséricorde et le pardon de nos péchés commis auparavant bien comme l'éternelle paraclese de ces que, involontairement, nous allons commettre.
Le péché n'aura pouvoir jamais sur nous, car nous ne sommes plus sous la Loi, mais si sous la Grâce. Et tout cela parce que, où le péché a abondé, par cause de la Loi, la grâce a surabondée.
En Somme, par ce qu'a été exposé, on vérifie :
Qui nous étions éternellement perdus, adressés au feu d'enfer ;
Qui en Adam, nous avions seulement l'espérance citée en haut ;
Qui en Christ, le second Adam, espirituel, nous avons la justification de nos péchés par la grâce ;
Qui la Loi ne peut sauver aucune, mais si seul la grâce sauvetrice de Jésus Christ peut-elle nous garantir le pardon et le Salut éternel.
Merveilleuse Grâce!