INTRODUCTION
Cette
narration se trouve dans les trois Évangiles synoptiques. Seul Jean n'en
raconte pas. Ici, il y a la rencontre d'une âme qui appelle pour salut du point
de vue éclectique. Quelqu'un qui attend de Jésus une
réponse classique avec un sans pragmatique, c'est-à-dire, une réponse qui lui
révèle quelque chose que lui soit utile et propice à quelque espèce de
satisfaction pour sa vie.
Le pragmatisme surgit dans le Siècle XIX. Il affirme que le
concept qu'on a d'un objet n'est plus rien que la somme des concepts de tous
les effets concevables comme résultant des implications pratiques que nous
pouvons donner pour l'objet référé.
Par conséquent, pour ce jeune-là, la Vie Éternelle était un bien
de plus qu'il pourrait acquérir pour sommer aux autres biens qu’il dejà
possédait.
Si on prête attention au discours de Jésus à ses disciples après
la sortie de ce jeune-là, on verra que Jésus comprit parfaitement le sans de la
demande qu'il lui avait fait.
À ce compte-là, on peut déduire de cette rencontre, quelques
réalités qui transcendent la raison et la pensée humaines.
I – UNE
RECHERCHE TRANSCENDANTAL (ET BIEN FONDÉE)
La recherche de ce jeune-là n'était pas une recherche bien fondée
; elle ne visait pas au transcendantal, mais si, au superficiel.
L'éxpérimentalisme, qui s'est basé sur le
fait de l'expérience prouvée, applicable aujourd'hui aux sentiments d'âme, ne
faisait pas partie de ses cogitations.
Ce jeune-là ne pensait pas à une expérience
réelle avec Dieu pour la consécution de ses objectifs spirituels. Pas même lui
passa à la pensée telle perspective, ce qui fut détecté par la pensée divine du
Seigneur Jésus.
Il
cherchait la satisfaction vers ses besoins matériels et voulait que ses envies
fussent perpétuées pour toute l'éternité.
II – UNE RECHERCHE
MINUTIEUSE (ET RÉFLECHIE)
Sa recherche était superficiel ; sa demande, irréfléchie. Il ne pourrait arriver à aucune place.
Devant la
réponse sage de Jésus, en fonction du pragmatisme révélé dans sa demande, le
jeune riche se jugeait bien fondé pour l'atteinte du but de sa recherche - la
Vie Éternelle.
III – UME RECHERCHE
EXPÉRIMENTALE
Au lié d'en
chercher le salut comme une résultante de ses souffrances et ses échecs en
fonction d'une vie de tentations et frustrations par la présence d'une réalité
que faisait partie du monde de ses jours - le péché - il essaya d'obtenir la
Vie Éternelle directement, comme une réponse classique à ses envies stoïques,
dont il ne faut pas se préoccuper de la disgrâce et de la souffrance d'autres,
mais ce qu'importe c'est la fin suprême d'une vie éternelle de biens et
plaisir.
IV – LES CONÉQUENCES
D’UNE RECHERCHE SUPERFICIELLE AU REGARD DU SALUT
L'attitude
de ce jeune-là c'est la même de beaucoup de personnes aujourd'hui. Plusieurs personnes veulent la Vie Éternelle sans se préoccuper
du Salut.
La Parole de Dieu nous indique que la Vie Éternelle est la
conséquence de l'acte du salut. Et il faut une expérience réelle quand le sujet
réel c'est le salut de l'âme.
Vouloir la Vie Éternelle sans avoir
l'intention de renoncer les concepts pragmatiques dont la justice d'une vie
impolluée, morale et abondante, mais indifférente à la présence du péché, domine
la pensée de ce qui veut vivre éternellement, c'est impossible, une fois que
"tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu" (Romains 3.23).
Personne ne peut fuir de cette réalité. La
plus grande preuve de ce que l'homme ne vint pas du singe c'est la présence du
péché dans la société humaine.
CONCLUSION
Il faut traiter cette question de la Vie
Éternelle avec serieté. Nul ne peut l'obtenir sans être sauvé.
Et pour être sauvé il faut laisser
l'insensibilité envers la présence du péché. Le péché n'a pas d'odeur, il n'a
pas de couler, il ne se fait pas sentir dans l'âme, à moins qu'on se
reconnaisse pécheur et se place devant la sainteté divine et on se voie misérable,
pauvre et perdu, pour en recevoir le pardon de ses péchés et être sauvé, pour
recevoir la Vie Éternelle.
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