Introduction
Ici au Brésil, nous commémorons le Jour du Pasteur le deuxième dimanche de
juin de chaque année. Ce jour pourrait être une date commémorative comme un
jour quelconque, a moins que nous considérons l’institution du ministère
Pastoral comme une institution divine. En vérité, elle n’est pas liée au ministère
temporal de Christ, c’est-à-dire, pendant Église militante, mais elle se trouve
au centre scatologique du propos de notre Dieu (v. 15).
Ainsi, c’est Dieu qui choit les pasteurs ; c’est Lui qui les donne à
l’Église. Cette proposition se révèle, a priori, pour la vieille “qahal”,
c’est-à-dire, l’Église dans le Desert, pendant peuple d’Israël. Toutefois, dans
le temps du Dieu, a posteriori, soit l’Église dans le Desert soit
l’Église du Nouveau Testament elles auraient à être unies dans une seule congrégation
militante qui seraient formée d’après un groupe restant d’Israël plus les
païens qui acceptaient la foi au Christ et devenaient sauvés par la grâce révélée
en Lui.
C’est ce que nous comprenons d’après v. 14 : “...car je suis votre maître.
Je vous prendrai, un d’une ville, deux d’une famille, et je vous ramènerai dans
Sion”.
Dans les desseins du Dieu, l’Israël est l’épouse aimée, comme l’Église
militante, en Christ, est Son épouse aimé.
Les Pasteurs – don de Dieu
Ainsi impliqué, ces bénédictions ne seraient pas pour l’Israël rebelle,
mais pour l’Israël obéissant, qui serait formé des Juifs et païens qui obéissent
à la foi en Christ Jésus – l’Église fondée et établie par Lui. Le Jour du Pasteur, donc, doit être commémoré comme
un jour historique dans le calendrier éternel du Dieu.
Toutefois quelqu’un pourrait raisonner : Si le
Ministère Pastoral se lie à temps lointains, comme dans l’antique qahal (Église
dans le Désert), comment Paul, lorsqu’il écrit aux chrétiens d’Éphèese au sujet
des dons légués par l’Esprit-Sainte à l’Église, énumère les pasteurs par
derrière, impliquant, inclusive, qu’ils furent donnés à l’Église après le retour
de Christ aux cieux, après l’établissement des douze apôtres (4v11)? Nous
savons, inclusive, que ni tous les apôtres devinrent pasteurs. Quelques-uns furent
martyrisés alors que commencèrent leur voyages missionaires.
Les pasteurs, donc, sont dons de Dieu à l'Église avant même que
cette là eût été fondée et établie par Christ. Et, selon la promesse de Dieu
vers le restant, ils seraient capacités à l'exercice de leur ministère. La
connaissance (dê’ah) alliée au discernement (haskêl) mènerait un
simple homme jusqu'à une position de guide d'un groupe sélect, choisi par Dieu
en Christ, qui promouvrait Son royaume dans la terre jusqu'au jour en que
l'Église sera élevée jusqu'aux lieux très haut vers l'encontre avec le Seigneur,
dans l'air, demeurant avec Lui pour toujours (1 Ts 4.16-17).
Être pasteur, donc, est un grand privilège, avant même d'être une
grande responsabilité. Privilège parce que la vocation est d'après le Seigneur.
C'est Lui qui appelle, habilite et honore le ministre fidèle constitué par Lui
pour paître le troupeau qui Lui-même l'a confié.
Cependant, comme a été impliqué au derrière paragraphe, ça ne
cesse pas d'être une grande responsabilité, puisque sur le pasteur pèsent
quelques compromissions :
1 - Il est un Ministre de la Parole. Ce n'est pas un ministère
terrain, pris aux limites d'espace et de temps comme d'être ministre d'une
gouverne, d'une portfolio quelconque, joint à un roi mortelle ou un royaume
passager. Les valeurs
de son portfolio sont de valeurs éternelles et son labeur a écho dans les
cieux, dont sort la Parole qui ne "retournera" jamais vers le
Seigneur "sans effet". Être pasteur est la même chose que
se tenir à la brèche du mur pour la couvrir, empêchant, ainsi, l'avance du
monde vers dans l'Église. Tout ce que le pasteur prêche à la chaire de son
Église sera prévalant contre la géhenne, contre la perdition et contre le
propre ennemi.
2 - Il est le porte-parole d'un Royaume éternel. Comme
l'annonciateur de bonnes nouvelles le pasteur offre au monde le modèle
d'Évangile qui prépare le pécher pour être avec Christ dans Son Royaume pour
toujours. Et cela est un grand privilège, car, comme dit la Parole de Dieu,
"Qu'ils sont beaux sur les montagnes les pieds de celui qui apporte de
bonnes nouvelles, qui publie la paix" !
Le pasteur traite avec de personnes qui, auparavant, n'avaient pas
espérance de salut et ne savait rien sur la responsabilité du pécher en face de
la justice et du jugement divins. Mais le pasteur, comme un héraut fidèle,
proclamant les bonnes nouvelles, propose au pécher la parole de réconciliation.
Il dit au monde que quelque péché non confessé et abandonné en Christ servira
de poids pour une juste condamnation, selon le norme de justice, vérité et
sainteté du Dieu Juste, Saint et Vrai.
3 - Il est un exemple pour ses brebis. Sa fidélité doit être
affleurée dans la compromission de prêcher la Parole, tempérée avec les valeurs
éternelles de la consolation et de l'exhortation ; de la pureté et de la vérité
; du salut et du jugement sur ces qui la refusent. Le pasteur est un exemple de
vie, d'honneur, d'intégrité, de moralité, quand le monde dans lequel nous
vivons a cherché d'autres valeurs qui sont dans la contre-mains des valeurs
contenues dans les attributs de notre Dieu.
En somme, le pasteur doit être trouvé fidèle par Celui qui
l'appela ;
En militer dans la grande bataille de la Lumière contre les
ténèbres, le pasteur doit être lumière ;
En cherchant à tempérer l'environ qui circonscrit son Église, le
pasteur doit être sel ;
En enseigner à son église, le pasteur doit révéler connaissance de
la Parole et discernement au sujet des dons donnés par l'Esprit-Sanite à
l'Église ;
En cherchant la communion des membres de
son église entre soi, le pasteur doit inspirer, en même temps qu'aspirer la
communion avec son Dieu et avec ses brebis ;
En promouvoir l'Évangélisme dans son
église, le pasteur doit sentir passion vers les âmes ;
Le pasteur doit être prêt à sourire avec ces qui sont contents et
pleurer avec ces qui pleurent.
Concluant, le Jour du Pasteur est le jour
dans lequel lui et son église pensent à son appel vers le ministère.
C'est le jour dans lequel lui et son
église pensent à sa préparation théologique, indispensable, en ces temps de
crises philosophiques et quand même théologiques, quand le message de
repentance et confession des péchés, condition sine qua non pour qu'on cherche
le salut en Christ, est en train de disparaître des chaires, plusieurs fois
déjà transformées en tribunes et estrades électoraux.
C'est le jour dans lequel lui et son
église pensent à sa foi. Combien de fois, frères qui font face à problèmes
humainement impossibles de solution, cherchent dans le pasteur le secours para
la prière. Pasteur, priez pour moi ; priez pour mes fils, pour ma fille,
pour un problème par lequel nous sommes en train de passer ; priez pour
mon fils, pour ma fille... Et le pasteur prie avec foi et Dieu répond, menant
la meilleure solution pour le problème, présenté dans laquelle demande de
prière.
Aujourd'hui, plus que jamais, nous avons besoin de pasteurs qui
vient et respirent la foi communiquée par les Écritures. Pasteurs qui sentent
passion pour les âmes perdues et qui aspirent à la venue du Royaume absolu de
Dieu, avec la victoire de l'Église du Christ sur les puissances des ténèbres de
manière totale et éternelle.
L'amour et l'humilité doit aussi faire
partie des qualités vues par l'église dans son pasteur. Pour prêcher amour, on
doit aimer en vérité. C'est ce que Jésus demanda du
Pierre. "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (agapao) plus que ceux-ci"
? Et Pierre réponds : "Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime (fileo)"
; Jésus lui demanda de nouveau : "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu
(agapao)" ? Et Pierre répond de nouveau avec fileo. Jésus demanda
la troisième fois : "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (fileo) ? Et Pierre
répond : "Seigneur, tu sais (oida) toutes choses ; Tu sais (gnosko)
que je t'aime (fileo).
Jésus demanda de Pierre un
amour plus fort que l'amour à ce qui avait souffert et était mort devant ses
yeux, sans même qu'il déclarât l'amour pour solidarité à sa mort. Au contraire,
il le nia devant les autorités.
Jésus demande des pasteurs un amour plus grande à Lui. La vision
de la croix ne doit pas sortir de la pensée du pasteur qui prêche le message de
la Croix de Christ. Dans la célébration de la cène, le pasteur doit montrer cet
amour à l'Église, pour qui les incrédules qui soient par hasard présents,
puissent trouver dans le message de la célébration sa possibilité de salut.
Je me rappelle dune certaine fois, lorsque je m'occupai de la
célébration de la Cène du Seigneur et expliquait sa signification biblique à
l'église, une jeune fille vint jusqu'au front, pleurant, confessant ses péchés
et disant qu'elle recevait le Seigneur Jésus comme son Sauveur personnel.
Le pasteur est un homme de Dieu. Ses
messages sont provenant des cieux. Ils ne retournent pas jusque là sans qu'en
produisent fruits pour l'éternité.
La responsabilité est grande, mais plus grand est le privilège
d'être pasteur, appelé d'après Dieu pour un ministère saint, fruit d'une sainte
vocation.
Que
Dieu bénisse tous les pasteurs que font le travail du Seigneur dans toutes les
églises qui sont disséminées dans ce monde et que façons du second dimanche du
juin le Jour Mondial du Pasteur.
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