sexta-feira, 20 de julho de 2012

LE PROFIL DU PASTEUR

Introduction
Ici au Brésil, nous commémorons le Jour du Pasteur le deuxième dimanche de juin de chaque année. Ce jour pourrait être une date commémorative comme un jour quelconque, a moins que nous considérons l’institution du ministère Pastoral comme une institution divine. En vérité, elle n’est pas liée au ministère temporal de Christ, c’est-à-dire, pendant Église militante, mais elle se trouve au centre scatologique du propos de notre Dieu (v. 15).
Ainsi, c’est Dieu qui choit les pasteurs ; c’est Lui qui les donne à l’Église. Cette proposition se révèle, a priori, pour la vieille “qahal”, c’est-à-dire, l’Église dans le Desert, pendant peuple d’Israël. Toutefois, dans le temps du Dieu, a posteriori, soit l’Église dans le Desert soit l’Église du Nouveau Testament elles auraient à être unies dans une seule congrégation militante qui seraient formée d’après un groupe restant d’Israël plus les païens qui acceptaient la foi au Christ et devenaient sauvés par la grâce révélée en Lui.
C’est ce que nous comprenons d’après v. 14 : “...car je suis votre maître. Je vous prendrai, un d’une ville, deux d’une famille, et je vous ramènerai dans Sion”.
Dans les desseins du Dieu, l’Israël est l’épouse aimée, comme l’Église militante, en Christ, est Son épouse aimé.
Les Pasteurs – don de Dieu
Ainsi impliqué, ces bénédictions ne seraient pas pour l’Israël rebelle, mais pour l’Israël obéissant, qui serait formé des Juifs et païens qui obéissent à la foi en Christ Jésus – l’Église fondée et établie par Lui. Le Jour du Pasteur, donc, doit être commémoré comme un jour historique dans le calendrier éternel du Dieu.
Toutefois quelqu’un pourrait raisonner : Si le Ministère Pastoral se lie à temps lointains, comme dans l’antique qahal (Église dans le Désert), comment Paul, lorsqu’il écrit aux chrétiens d’Éphèese au sujet des dons légués par l’Esprit-Sainte à l’Église, énumère les pasteurs par derrière, impliquant, inclusive, qu’ils furent donnés à l’Église après le retour de Christ aux cieux, après l’établissement des douze apôtres (4v11)? Nous savons, inclusive, que ni tous les apôtres devinrent pasteurs. Quelques-uns furent martyrisés alors que commencèrent leur voyages missionaires.
Les pasteurs, donc, sont dons de Dieu à l'Église avant même que cette là eût été fondée et établie par Christ. Et, selon la promesse de Dieu vers le restant, ils seraient capacités à l'exercice de leur ministère. La connaissance (dê’ah) alliée au discernement (haskêl) mènerait un simple homme jusqu'à une position de guide d'un groupe sélect, choisi par Dieu en Christ, qui promouvrait Son royaume dans la terre jusqu'au jour en que l'Église sera élevée jusqu'aux lieux très haut vers l'encontre avec le Seigneur, dans l'air, demeurant avec Lui pour toujours (1 Ts 4.16-17).
Être pasteur, donc, est un grand privilège, avant même d'être une grande responsabilité. Privilège parce que la vocation est d'après le Seigneur. C'est Lui qui appelle, habilite et honore le ministre fidèle constitué par Lui pour paître le troupeau qui Lui-même l'a confié.
Cependant, comme a été impliqué au derrière paragraphe, ça ne cesse pas d'être une grande responsabilité, puisque sur le pasteur pèsent quelques compromissions :
1 - Il est un Ministre de la Parole. Ce n'est pas un ministère terrain, pris aux limites d'espace et de temps comme d'être ministre d'une gouverne, d'une portfolio quelconque, joint à un roi mortelle ou un royaume passager. Les valeurs de son portfolio sont de valeurs éternelles et son labeur a écho dans les cieux, dont sort la Parole qui ne "retournera" jamais vers le Seigneur "sans effet". Être pasteur est la même chose que se tenir à la brèche du mur pour la couvrir, empêchant, ainsi, l'avance du monde vers dans l'Église. Tout ce que le pasteur prêche à la chaire de son Église sera prévalant contre la géhenne, contre la perdition et contre le propre ennemi.
2 - Il est le porte-parole d'un Royaume éternel. Comme l'annonciateur de bonnes nouvelles le pasteur offre au monde le modèle d'Évangile qui prépare le pécher pour être avec Christ dans Son Royaume pour toujours. Et cela est un grand privilège, car, comme dit la Parole de Dieu, "Qu'ils sont beaux sur les montagnes les pieds de celui qui apporte de bonnes nouvelles, qui publie la paix" !
Le pasteur traite avec de personnes qui, auparavant, n'avaient pas espérance de salut et ne savait rien sur la responsabilité du pécher en face de la justice et du jugement divins. Mais le pasteur, comme un héraut fidèle, proclamant les bonnes nouvelles, propose au pécher la parole de réconciliation. Il dit au monde que quelque péché non confessé et abandonné en Christ servira de poids pour une juste condamnation, selon le norme de justice, vérité et sainteté du Dieu Juste, Saint et Vrai.
3 - Il est un exemple pour ses brebis. Sa fidélité doit être affleurée dans la compromission de prêcher la Parole, tempérée avec les valeurs éternelles de la consolation et de l'exhortation ; de la pureté et de la vérité ; du salut et du jugement sur ces qui la refusent. Le pasteur est un exemple de vie, d'honneur, d'intégrité, de moralité, quand le monde dans lequel nous vivons a cherché d'autres valeurs qui sont dans la contre-mains des valeurs contenues dans les attributs de notre Dieu.
En somme, le pasteur doit être trouvé fidèle par Celui qui l'appela ;
En militer dans la grande bataille de la Lumière contre les ténèbres, le pasteur doit être lumière ;
En cherchant à tempérer l'environ qui circonscrit son Église, le pasteur doit être sel ;
En enseigner à son église, le pasteur doit révéler connaissance de la Parole et discernement au sujet des dons donnés par l'Esprit-Sanite à l'Église ;
En cherchant la communion des membres de son église entre soi, le pasteur doit inspirer, en même temps qu'aspirer la communion avec son Dieu et avec ses brebis ;
En promouvoir l'Évangélisme dans son église, le pasteur doit sentir passion vers les âmes ;
Le pasteur doit être prêt à sourire avec ces qui sont contents et pleurer avec ces qui pleurent.
Concluant, le Jour du Pasteur est le jour dans lequel lui et son église pensent à son appel vers le ministère.
C'est le jour dans lequel lui et son église pensent à sa préparation théologique, indispensable, en ces temps de crises philosophiques et quand même théologiques, quand le message de repentance et confession des péchés, condition sine qua non pour qu'on cherche le salut en Christ, est en train de disparaître des chaires, plusieurs fois déjà transformées en tribunes et estrades électoraux.
C'est le jour dans lequel lui et son église pensent à sa foi. Combien de fois, frères qui font face à problèmes humainement impossibles de solution, cherchent dans le pasteur le secours para la prière. Pasteur, priez pour moi ; priez pour mes fils, pour ma fille, pour un problème par lequel nous sommes en train de passer ; priez pour mon fils, pour ma fille... Et le pasteur prie avec foi et Dieu répond, menant la meilleure solution pour le problème, présenté dans laquelle demande de prière.
Aujourd'hui, plus que jamais, nous avons besoin de pasteurs qui vient et respirent la foi communiquée par les Écritures. Pasteurs qui sentent passion pour les âmes perdues et qui aspirent à la venue du Royaume absolu de Dieu, avec la victoire de l'Église du Christ sur les puissances des ténèbres de manière totale et éternelle.
L'amour et l'humilité doit aussi faire partie des qualités vues par l'église dans son pasteur. Pour prêcher amour, on doit aimer en vérité. C'est ce que Jésus demanda du Pierre. "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (agapao) plus que ceux-ci" ? Et Pierre réponds : "Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime (fileo)" ; Jésus lui demanda de nouveau : "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (agapao)" ? Et Pierre répond de nouveau avec fileo. Jésus demanda la troisième fois : "Simon, fils de Jonas, m'aimes-tu (fileo) ? Et Pierre répond : "Seigneur, tu sais (oida) toutes choses ; Tu sais (gnosko) que je t'aime (fileo).
 Jésus demanda de Pierre un amour plus fort que l'amour à ce qui avait souffert et était mort devant ses yeux, sans même qu'il déclarât l'amour pour solidarité à sa mort. Au contraire, il le nia devant les autorités.
Jésus demande des pasteurs un amour plus grande à Lui. La vision de la croix ne doit pas sortir de la pensée du pasteur qui prêche le message de la Croix de Christ. Dans la célébration de la cène, le pasteur doit montrer cet amour à l'Église, pour qui les incrédules qui soient par hasard présents, puissent trouver dans le message de la célébration sa possibilité de salut.
Je me rappelle dune certaine fois, lorsque je m'occupai de la célébration de la Cène du Seigneur et expliquait sa signification biblique à l'église, une jeune fille vint jusqu'au front, pleurant, confessant ses péchés et disant qu'elle recevait le Seigneur Jésus comme son Sauveur personnel.
Le pasteur est un homme de Dieu. Ses messages sont provenant des cieux. Ils ne retournent pas jusque là sans qu'en produisent fruits pour l'éternité.
La responsabilité est grande, mais plus grand est le privilège d'être pasteur, appelé d'après Dieu pour un ministère saint, fruit d'une sainte vocation.
Que Dieu bénisse tous les pasteurs que font le travail du Seigneur dans toutes les églises qui sont disséminées dans ce monde et que façons du second dimanche du juin le Jour Mondial du Pasteur.

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